STAR WARS GALACTIC BATTLEGROUNDS
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Octobre 2013
Données techniques :
Type de jeu: stratégie temps réel
Version : française intégrale
Conception: Lucas Arts
Autres titres: Day of the Tentacle, The Dig, Full Trottle, Grim Fandango, Indiana Jones Adventure, Indy 4, Monkey Island 1, 2, 3, 4, Outlaws, Sam & Max, Star Wars -La Menace Fantôme, Star Wars-Racer, Star Wars-Force Commander, Dark Forces, Star Wars-Mysterie of the Sith, Star Wars-Jedi Knight (Dark Forces II), Star Wars-Rebell Assault 1 & 2, Star Wars-Rebellion, Star Wars-Shadows of the Empire, Star Wars-Star Fighter, Star Wars-Tie Fighter, Star Wars-X Wing,Star Wars-B Wing, Star Wars-X Wing Imperial Pursuit, Star Wars-X Wing vs Tie Fighter, etc...
Distribution: Lucas Arts
Sortie: décembre 2001
Configuration minimum: Pentium III
Système d'exploitation: Windows 98, Windows XP
Accélération graphique: Direct 3D
Mode réseau: affrontement/coopératif pour 8 joueurs maximum

L'histoire du jeu :
Dans le domaine du jeu vidéo, il fut une époque (celle remontant au début du millénaire) où différents domaines de jeux se disputaient encore la couronne du lauréat du moment. Ainsi, à côté des jeux d'action qui avaient déjà les faveurs d'un public de plus en plus large, particulièrement en descendant dans la pyramide des âges (allez savoir pourquoi), on trouvait, toujours en bonne place, le jeu de stratégie et plus précisément pour ce qui nous intéresse, le jeu de stratégie en temps réel.
De nombreux éditeurs se sont laissés tenter par le domaine stratégie, qu'ils soient ou non coutumiers du genre. Tous ne le firent pas avec bonheur et leur participation se limita alors à une brève apparition dans un domaine qui ne leur convenait pas.
D'autres s'entêtèrent malgré un premier revers pour, ensuite, tirer leur épingle du jeu (expression qui, ici, a tout son sens) avec une réalisation exemplaire.
Ce fut notamment le cas chez LucasArts avec un Galactic Battlegrounds de bonne facture.
En 2000, LucasArts s'était déjà frotté au genre stratégie temps réel 3D avec un titre (Force Commander), forcément lié à l'univers Star Wars, développé en externe par les studios Ronin Entertainment.
Bien qu'offrant les possibilités habituelles d'un jeu de stratégie (campagne solo, mode multi, générateur aléatoire de cartes), Force Commandeur n'emporta pas les suffrages des joueurs dans leur ensemble et encore moins ceux des amateurs de jeux de stratégie.
Mais LucaArts ne s'avoua pas décontenancé pour autant. En 2001, il revint avec un autre titre (Galactic Battlegrounds), renouant cette fois avec les fondamentaux du genre. Avec cet autre jeu de stratégie, LucasArts abandonnait la 3D et revenait au classique affichage isométrique, bien plus approprié au jeu de stratégie par destination que l'affichage en trois dimensions.
Ce retour vers l'affichage isométrique était surtout dicté par l'utilisation d'un moteur graphique d'emprunt. En effet, LucasArts avait choisi pour son nouveau bébé un moteur graphique ayant fait largement ses preuves puisqu'il s'agissait de celui conçu par les créateurs d'un autre jeu de stratégie archi-connu: Ages of Empires (Ensemble Studios - 1997).
Si ce moteur graphique datait déjà de quelques années (moteur qui toutefois avait été revisité par l'équipe des graphistes de Monsieur Lucas), son utilisation dans Galactic Battlegrounds n'était pas du tout dénuée d'intérêt.
Avec ce Galactic Battlegrounds, la volonté affichée de la maison LucasArts était de mettre à disposition d'un public le plus large possible un produit le plus éminemment accessible, en reprenant les principes de fonctionnement d'un jeu ayant déjà fait ses preuves. Ensuite, il convenait de conserver l'esprit de l'univers Star Wars afin de répondre aux attentes des adeptes du concept mais aussi afin de séduire les partisans du jeu de stratégie traditionnel.
Les boulimiques de l'innovation à toutes les sauces en ont sans doute été pour leurs frais mais Galactic Battlegrounds avait réussi le challenge: combler un large éventail d'amateurs de jeux vidéo sans pour autant révolutionner le jeu de stratégie en temps Réel et sans exiger de configuration matérielle performante puisqu'un Pentium III suffisait largement au moment de la sortie du jeu.
Ca n'a l'air de rien mais j'apprécie lorsqu'on ne me pousse pas à la consommation. J'ai cette sensation agréable de ne pas être pris pour le dindon de la farce.
Galactic Battlegrounds, qui reposait sur les mêmes modes de fonctionnement que ceux implémentés dans son contemporain "Ages of Empires II", offrait six civilisations pouvant être mises en compétition dans la réalisation de divers objectifs (l'élimination pure et simple de l'adversaire, notamment mais pas que). Parmi ces civilisations, on trouvait bien évidemment l'alliance rebelle et les forces de l'empire (avec les personnages et les éléments emblématiques des deux fractions comme on a pu les contempler dans la dernière trilogie cinématographique en date). Les quatre suivantes étaient les Naboo, les Gungans, les Wookiees et la Fédération du Commerce.
Chaque civilisation possédait des atouts particuliers et des moyens distincts pour asseoir leur suprématie.
Galactic Battlegrounds mettait l'accent sur un arbre technologique autrement plus élaboré que sa référence. Pour parvenir à le développer, quatre ressources étaient mises à disposition: l'alimentation et les minerais. Certains joueurs avaient relevé l'incongruité d'une ressource alimentaire liée à une civilisation essenciellement robotisée. Je leur rétorquerai que le bio-carburant, par exemple, c'est pas fait pour les chiens. Il n'y a pas incompatibilité, dès qu'on y réféchit.
De nombreux moyens d'optimisation devaient aussi être pris en compte pour les amasser en un minimum de temps. Chaque civilisation possédait un ensemble de constructions/bâtiments spécifiques permettant d'assurer son expansion et sa sécurité.
Au total, Galactic Battlegrounds mettait à disposition plus de trois cents unités et structures différentes. Chasseurs de primes, Chevaliers Jedi, Stormtroopers, Wookies, chasseurs X-Wing et TIE, blindés quadripodes ou bipodes, droïdes en tout genre et bien évidemment l'indétrônable Dark Vador étaient de la partie. Les campagnes se disputaient sur différents terrains mais aussi sur mer, dans les airs et dans l'espace.
Que dire encore, sinon que le joueur pouvait avoir accès à 4 niveaux technologiques que l'on atteignait via des paliers successifs en accumulant réserves alimentaires et minérales. Chaque niveau atteint assurait de nouvelles possibilités en matière de construction ainsi qu'en renforcement des capacités défensives et offensives. Atteindre un nouveau niveau technologie et développer toutes les caractéristiques supplémentaires qu'il autorisait ne se faisaient pas en un tour de main. Cela demandait du temps et des ressources pour y arriver. En cela, Galactic Battlegrounds s'affichait comme nettement plus fouillé que sa référence directe: Ages of Empires II.
Outre l'univers Star Wars particulièrement bien rendu, la lenteur de progression, la quantité d'unités, de structures disponibles et les ressources intelligemment aménagées étaient aussi des éléments qui me plurent dans ce jeu. Mon épouse avait, préalablement à la découverte de Galactic Battlegrounds, jeté son dévolu sur Ages of Empires premier du nom. Elle avait alors entamé sa campagne solo. Ages of Empires se rangeait du côté des softs de stratégie basés sur l'histoire de l'humanité (antiquité), aux contextes sans doute temporellement plus rassurant. Du fait de cette précédente expérience, elle ne remit pas le couvert avec ce Galactic Battlegrounds. Voilà sans doute pourquoi le volet multijoueur n'a pas eu l'occasion d'être entamé alors qu'il offrait toute une série de possibilités y compris un mode coopératif, variante que nous privilégions entre toutes, sur le plan ludique et sans qu'il soit question d'arrières pensées scabreuses.
Je resterai donc seul à parcourir ce titre qui, malgré les critiques mitigées provenant des médias spécialisés au moment de sa sortie, me fait l'effet d'un produit agréablement abouti, offrant aux passionnés du genre et du contexte Star Wars un univers high-tech résolument tourné vers le plus grand nombre de joueurs. La vague vintage qui nous entoure aujourd'hui nous fait réapparaître Galactic Battlegrounds avec délice, face à du GTA consommé à outrance par ceux qui, via la virtualisation des interdits, légitimisent le jeu vidéo en tant qu'antidote aux pulsions belliqueuses (ce qui reste encore à prouver), le ramenant ainsi à ce qu'est l'aspirine au mal de tête.
Galactic Battlegrounds n'avait certainement pas cette ambition puisqu'il mettait à l'épreuve la compétence et non l'égocentrisme.
Jouer au stratège plutôt qu'au pschycopathe ? On y était même arrivé.

La boîte et son contenu :
Il y a quelques temps de cela, en arpentant une brocante locale, je mettais la main sur plusieurs boîtes de jeux vidéo, toutes liées à l'univers Star Wars (liquidation organisée par un ex amateur du mythe Georges Lucas, sans doute). Parmi celles-ci se trouvait le jeu Star Wars Galactic Battlegrounds. Je saisis le lot pour quelques piécettes et poursuivis ma journée à la recherche d'une pièce ou l'autre sur lesquelles j'aurai peut-être l'occasion de revenir ultérieurement.
Revenu chez moi, je mis cette boîte de côté pensant qu'il viendrait bien un temps où je la sortirais pour m'enquérir du contenu.
Un an plus tard, lors de la répétition annuelle de ladite brocante, je fis la découverte d'une autre boîte qui, outre Galactic Battlegrounds, enfermait aussi son add-on officiel: Star Wars Galactic Battlegrounds Saga (jeu de base + Clone Campaigns). La légende Galactic Battlegrounds était ainsi réunie au complet.
La première boîte découverte (celle ne contenant que le jeu de base) affiche un format standard. Sa présentation est celle qui identifie les jeux LucasArts des autres jeux remontant à la grande époque des boîtes cartonnées. Cette boîte est composée d'une base et d'un couvercle s'emboîtant l'un dans l'autre. Le revêtement principal est pelliculé de papier imprimé vernissé, mettant raisonnablement l'ensemble à l'abri de l'humidité.
A l'intérieur on y découvre un gros boîtier cristallin contenant les deux CD-ROM du jeu. En dessous de celui-ci, on peut apercevoir un respectable manuel d'utilisation de 78 pages particulièrement fournies mais imprimées dans un format un rien trop petit pour être agréablement compulsé à l'œil nu. Il n'empêche qu'il constitue l'ossature des connaissances qu'il faut maîtriser pour pouvoir profiter du jeu.
Au fond de la boite réside un énorme dépliant couleur reprenant, de façon imagée, les arbres technologiques de chaque civilisation.
La seconde boîte (Galactic Battlegrounds Saga), toujours cartonnée, se contente d'un format réduit, semblable à celui contenant Star Wars Experience (voir l'article relatif à Mysteries of the Sith). Dans celle-ci on trouve toujours le gros boîtier cristallin contenant les deux CD-ROM du jeu de base plus un autre contenant le CD-ROM de l'extension Clone Campaigns. On y trouve aussi le même manuel d'utilisation que précédemment plus un second de 20 pages (format identique) révélant les apports de Clone Campaigns. Par contre, il n'y a plus trace du grand dépliant offrant les arbres technologiques des civilisations. Rien d'exceptionnel à cela car sa taille n'aurait pas permis de l'y caser en entier.
Galactic Battlegrounds ne pouvait se concevoir sans une extension. Clone Campaigns était donc venu le compléter en tant que disque additionnel qui se devrait de combler les fans avec ses quatorze nouveaux scénarios et ses deux civilisations supplémentaires.
Je conserve bien évidemment les deux boîtes cartonnées sur une des étagères spécialement allouées à ma petite collection personnelle de boîtes de jeux vidéo. Lorsque je désire passer une heure ou deux en dehors des tumultes des jeux d'actions et des feuilletons policiers du même acabit, je n'hésite pas à les ressortir pour me replonger dans un univers Star Wars version stratégie qui, malgré son âge et les imperfections qu'on lui connait, reste plaisant à parcourir.

Et aujourd'hui ?
La version PC de Star Wars Galactic Battlegrounds ne concernait qu'un seul système d'exploitation, celui de Microsoft Windows. A partir de la version 95 jusqu'à et y compris la version XP de Windows, tout se passe parfaitement. Ensuite, pour Vista, Seven et compagnie, certains soucis peuvent survenir.
Ne faites pas les étonnés, Microsoft avait prévenu en son temps.
Un problème récurrent concerne l'affichage des couleurs. Si, au lancement du jeu, différents points rouges et verts apparaissent sur les décors et les unités, voici comment résoudre le problème. Je vous livre l'astuce comme je l'ai comprise et sans l'avoir testée puisque je ne possède que des machines dédiées au retrogaming (Windows 98 & XP).
Ouvrir le bloc-notes de windows (ou tout autre éditeur de texte);
  1. Pour le jeu de base, introduire les lignes suivantes
    taskkill /f /im explorer.exe
    battlegrounds.exe
    start explorer.exe
  1. Pour l'extension clone campaigns, introduire les lignes suivantes:
    taskkill /f /im explorer.exe
    battlegrounds_x1.exe
    start explorer.exe
Le texte ainsi créé doit maintenant être sauvé (sous forme de fichier batch, nommé par exemple: start.bat), à un endroit bien déterminé. On considère ici que le jeu a été installé par défaut dans le répertoire prévu à cet effet. Il peut donc se situer ailleurs.
  1. Si on a introduit le texte destiné au jeu de base, le chemin est:
    C:/Program Files/LucasArts/Star Wars Galactic Battlegrounds/Game
  1. Si on a introduit le texte destiné à l'extension, le chemin est:
    C:/Program Files/LucasArts/Star Wars Galactic Battlegrounds Saga/Game
Cela fait, il faudra encore vérifier les paramètres contextuels du fichier batch, de façon à ce que celui-ci s'exécute en mode plein écran.
Pour lancer le jeu sans rencontrer le problème concernant l'affichage des couleurs, il suffit d'exécuter, en lieu et place du raccourci par défaut, le ficher batch qui vient d'être créé (ici: start.bat).
A partir de là, chacun fait ce qu'il veut:
Créer un raccourci du fichier start.bat sur le bureau ou modifier le raccourci par défaut du jeu pour qu'il pointe plutôt le fichier start.bat, ou encore...
Comme bon nous semble.
Avec Windows, il est toujours loisible de faire une action à partir de différents éléments. Ne vous en privez donc pas.

Voici un autre petit détail facétieux:
Dans Galactic Battlegrounds, l'ambiance musicale du jeu est assurée via le CD-ROM du jeu, par une piste audio. Une seule piste audio rétorqueriez-vous ? Oui mais il faut encore savoir qu'elle fait tout de même 31mn de long !
Dès lors, ceux qui utilisent un crack no-CD pour ne pas avoir à insérer la galette dans son lecteur (prétextant qu'il s'agit là d'un mouvement athlétique hors de portée) en seront privés.
C'est bien fait pour eux.
Idem pour ceux qui se limitent à une copie minimale du soft, téléchargée je ne veux pas savoir où.
Quelque part et pour les concepteurs de Galactic Battlegrounds, c'était une façon de protéger leur œuvre. Je ne vais pas leur en tenir rigueur.
Par contre, il semblerait (à lire divers forums) que l'ambiance musicale soit absente chez l'un ou l'autre utilisateur, malgré le fait que ceux-ci aient inséré le bon CD-ROM dans son lecteur.
La chose est évidemment anormale. Il convient dès lors de vérifier si la machine sur laquelle est installé le jeu permet d'auditionner n'importe quel autre CD/DVD-ROM audio.
Si ce n'est pas le cas, voici ce qu'il se passe:
Lorsqu'un CD/DVD-ROM audio ne peut être lu sur un ordinateur, c'est qu'il s'agit vraisemblablement d'une anomalie de montage en matière de composants, par laquelle le lecteur CD/DVD-ROM ne se trouve pas relié à la puce/carte-son via un connecteur ad-hoc.
Avec un ordinateur de bureau, il est facile de le vérifier en l'ouvrant et en s'assurant que le câble qui devrait relie le lecteur (départ à côté de la prise alimentation ou de la nappe du contrôleur) se trouve bien fixé à la puce/carte-son de l'ordinateur. Dans nombre de montages peu regardants aux détails, ce petit câble est même absent. Le son audio n'est alors perceptible que via la sortie casque dudit lecteur (si toutefois celui-ci en possède un).
En ce qui concerne l'ordinateur portable, le problème est bien plus délicat du fait de la compacité des éléments.
Cela étant, la lecture de cette fameuse piste audio de 31mn comporte un défaut rédhibitoire: elle ne boucle pas !
De ce fait, le temps une fois écoulé, on se retrouve invariablement sans ambiance musicale. C'est plutôt rageant et, à l'exception d'auditionner le fichier audio via un média externe, je ne connais qu'une solution de continuité: sauver/quitter le jeu/redémarrer le jeu/recharger.
Bof bof, quoi.

Le patch qui est dédié au jeu ne semble d'ailleurs pas solutionner ce souci. Il n'empêche qu'il en règle quelques autres. Il est téléchargeable à l'adresse suivante:
Patch pour Galactic Battlegrounds
http://www.clubic.com/patch-jeux-video-398-0-star-wars-
galactic-battlegrounds.html

Patch pour clone campaings
http://www.clubic.com/patch-jeux-video-573-0-star-wars-
galactic-battlegrounds-clone-campaigns.html

Reste à dénicher le jeu, me diriez-vous.
Ce n'est maintenant plus un secret pour personne mais il faut savoir que Monsieur Georges Lucas a rétrocédé, fin 2012, sa société Lucas Films (les Star Wars) ainsi que sa filiale vidéo-ludique Lucas Arts (les Star Wars et surtout le reste) au groupe Disney.
Jusque là, LucasArts défendait bec et ongle ses produits afin que ceux-ci n'apparaissent pas dans les officines de l'abandonware. Il est à craindre que le groupe Disney en fasse autant même s'il s'est prestement séparé du staff développement ludique, inclus dans la reprise.
Pour se le procurer en version complète (et française, de préférence), il existe une ultime possibilité d'inspiration altruiste (on oublie les sites d'enchères combinés à l'argus de l'absurdité). Cette possibilité consiste à faire appel à l'équipe (en toute discrétion, ce qui devrait aller de soi) ou encore, et pourquoi pas, aux réseaux sociaux et à leurs constellations d'amis (leur reconnaissant, de facto, un début d'utilité) afin de dénicher la bonne âme qui consentirait à se dessaisir d'un exemplaire devenu superfétatoire, voire embarrassant si j'en crois les soucis d'encombrement évoqués par beaucoup, à propos des dimensions intolérables de la boîte cartonnée et des manipulations inacceptables engendrées par un support d'informations physique, au point de s'en débarasser au plus tôt (par exemple: en les liquidant à bas prix sur les brocantes).
Comme je les comprends.






































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