HEXEN II
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Juillet 2005
Données techniques :
Type de jeu: action (surtout shoot)
Version : anglaise uniquement (une traduction aurait été sans intérêt)
Conception: Raven Software
Autres titres: Cyclones, Heretic, Hexen (beyond Heretic), Heretic 2, Take no Prisoners, MageSlayer, Necrodrome, ShadowCaster, Solier of Fortune 1 & 2, Star Tek Voyager - Elite Force, Star Wars - Jedi Oucast, Jedi Academy,
Distribution: ID Software
Sortie: janvier 1994
Configuration minimum: Pentium 200
Système d'exploitation: Windows 98, Windows XP (avec les réserves d'usage)
Accélération graphique: mode logiciel, 3Dfx et OpenGl
Mode réseau: coopératif et affrontement de 2 à 32 joueurs

L'histoire du jeu :
J'ose croire qu'il en reste encore qui, tout comme votre serviteur il y a déjà quelques années de cela, ont chassé le poulet dans Heretic premier du nom, (premier opus d'une grande saga qui connut d'autres titres tels que Hexen (sorti peu après Heretic). Qu'il faisait bon alors, d'utiliser les flasques de quartz, réserves de mana et autre Tome of Power afin d'éliminer le bestiaire peuplant la multitude de niveaux qu'offraient ces jeux.
Jouer à Heretic ou Hexen c'était mettre la main dans un engrenage qui conduisait le joueur dans des univers dépeints dans toute la littérature Heroic Fantasy dont Heretic (1995), puis Hexen firent partie.
Ces deux jeux étaient des transpositions du concept Doom (moteur du jeu y compris: le Doom engine) dans un monde thaumaturgico-médiéval. Le développement de ces dérivés avaient été assuré par l'éditeur Raven software, en partenariat avec Id Software (auteur du fameux moteur en question).
Digne successeur, mais aussi contemporain, du premier en date (Heretic), Hexen apportait quelques belles améliorations en matière de gameplay (vision haut/bas) et présentait un mode jeu légèrement plus élaboré que celui proposé par Heretic. Le tout premier fut le choix entre plusieurs héros aux compétences distinctes).
Plus encore, il offrait un grande nouveauté par rapport à ce qui avait été fait antérieurement pour Doom puis Heretic avec l'apparition de niveaux dont les résolutions s'imbriquaient les unes dans les autres rendant ainsi le jeu nettement moins linéaire que précédemment.
A l'époque où je m'étais intéressé à Hexen, j'avais été passablement perturbé en constatant, dès le second niveau, que l'accomplissement d'une énigme exigeait la résolution de sept autres sous-énigmes réparties dans différents sous niveaux qui s'entremêlaient et auxquels on accédait via des points de téléportation répartis ça et dans le niveau principal. L'accès à ces niveaux n'étaient autorisés qu'après la résolution d'une quête (qui se limitait généralement au déclenchement d'une manette ou d'un mécanisme dissimulé).
Après chaque découverte, le retour dans le niveau principal s'accompagnait généralement par la réapparition de nouveaux adversaires indiquant ainsi au joueur qu'une autre porte était révélée, à un endroit restant encore à découvrir.
L'ambiance toute particulière d'un monde Heroic Fantasy créé à partir du moteur de Doom ainsi que les thèmes musicaux aux sonorités plus que particulières faisaient que j'étais complètement obsédé par la recherche perpétuelle d'une sortie parfois très bien cachée ou encore inactivée (alors que parfaitement visible) par le simple fait qu'il restait une sous-énigme non encore résolue.
Combien de fois j'ai pu pester et parcourir, pendant de longues heures, des niveaux entiers à la recherche d'un élément hypothétiquement oublié face à une porte refusant obstinément de s'ouvrir alors qu'une simple clé (par exemple une statue à déplacer) n'avait pas été actionnée dans un autre lieu.
En ce sens, Hexen m'avait beaucoup marqué et ce fut lui qui me fit découvrir Heretic que j'avais dédaigné au moment de sa sortie, argumentant n'être pas amateur de ce type d'atmosphère. Car il s'agissait bien de cela: une atmosphère très particulière et angoissante que j'avais appréhendé avec Hexen et redécouverte par la suite, lorsque ce bon Hexen fut remis au goût du jour grâce aux possibilités accélératrices de DoomsDay (voir article sur Doom2). A droite et en haut de cette page, vous pourrez contempler quelques captures d'écran extraites de Hexen premier du nom, telles qu'on peut les obtenir sous Doomsday. Cela ne se voit peut-être pas d'où vous êtes, mais ça n'a plus rien de comparable avec le jeu originel n'affichant que des images VGA avec panoramique sur la pixellisation.
Toute rétrospective et entrée en la matière pour en arriver au fait qu'une suite avait été donnée à Hexen avec la sortie en 1997 de Hexen 2.
Hehen 2 était le digne successeur du premier volet. Construit dans le plus parfait alignement doctrinal, ce second et nouvel opus (enfin, c'est relatif) avait hérité de la technologie full 3D du moteur de Quake utilisé, sous licence, par Raven Software (concepteur des deux épisodes Hexen).
En vérité, la 3D était réellement la grande innovation du jeu. Pour le reste et par rapport à son prédécesseur, les principes du gameplay étaient repris tels que. Ceux qui s'attendaient à un jeu totalement différent du premier ont dû être quel que peu déçus (à contrario: pas les autres) puisque justement il s'agissait de pérenniser un genre, ce qui pour ma part reste un choix estimable.
Le studio de développement Raven avait d'ailleurs peaufiné le moteur graphique de son nouveau-né avec une gestion en temps réel de la lumière irradiante, des textures transparentes pour les eaux, des effets climatiques réalistes, de la déformation de géométrie, des objets rotatifs. En somme: tout plein de "joyeusetés" visuelles novatrices qui furent par la suite (et en partie) ajoutées au moteur graphique de Quake 2).
Hexen 2 acceptait le support des cartes 3D sous OpenGL tout comme le Glide (du regretté 3Dfx). Il acceptait aussi un mode non accéléré (dit mode logiciel) qui prenait le contre-pied de l'accélération graphique dont il était question juste avant. Bien sûr, dans ce mode, les textures étaient quel peu pixellisées, mais le contraste et les effets de lumière étaient étrangement mieux restitués. Toutefois, une machine un peu plus performante était nécessaire pour assurer à ce dernier mode la possibilité de fonctionner sans occasionner de ralentissement.
Avec Hexen 2, le dispositif des niveaux imbriqués avait été gardé dans son intégralité (pour mon plus grand plaisir) et tout ce qui a été écrit à propos de Hexen premier du nom était à reporter sur ce nouvel opus.
Dans Hexen 2, le passage entre deux mondes se faisait toutefois grâce à l'ouverture de deux grosses portes métalliques et non plus par la traversée d'une arche de téléportation. L'effet était tout aussi agréable et tout bien considéré, plus lugubre encore. Dans ce second opus, l'aspect jeu de rôle avait encore été amendé par la présence d'une nouvelle race de personnage et par une collecte de points d'expérience (en montant de niveau, le personnage obtenait de nouveaux attributs (non, pas ceux auxquels vous pensez). Hexen 2 offrait aussi l'apparition d'ennemis nouveaux et quoi de plus normal puisque les mondes visités étaient nouveaux et différents.
Dans Hexen premier du nom, le troupier de base était représenté par un cerbère à deux tètes muni d'un fléau d'arme aux pointes acérées, attaquant souvent en nombre. Ici, c'était le tour de l'archer en armure (très présent dans les premiers niveaux) principalement posté dans les coins sombres et reculés, qui pouvait combattre à distance.
Par contre, ce qui étonnait le joueur, galérant dans ces premiers niveaux, c'était la présence de nombreuses araignées de différentes tailles (allant jusqu'à celle d'un très gros chien), totalement nouvelles venues par rapport au précédent volet.
Celles-ci se retrouvaient parfois en groupe. Comble de l'horreur, les sorciers se transformaient en ces charmants bestiaux lorsque le joueur les faisait passer de vie à trépas. Leur présence renforçait parfaitement l'ambiance "cloaqueuse" des niveaux où elles évoluaient, bien plus que ne savaient et ne sauraient le faire d'autres créatures, l'arachnophobie aidant.
Le jeu en lui-même était composé de plusieurs mondes (Egypte ancienne, Rome antique, temples mayas) et de trente profonds niveaux. Comme cela a déjà constaté, les niveaux de chaque monde étaient interconnectés, ce qui permettait de ne pas rester en galère devant une énigme non résolue. Toutefois, le joueur pouvait parfaitement passer à côté d'un passage secret, et se retrouver durablement bloqué pour tout la suite du jeu.
Pour pallier à ce problème, chaque niveau était parsemé d'écriteaux ou livres fournissant divers indices pouvant servir à une résolution . Comme de coutume, un boss de niveau terminait chacun de ceux-ci et annonçait au joueur qu'il passait au suivant ou terminait le jeu.
Comme il en était des jeux de cette époque, la durée de vie était très appréciable, d'autant qu'au fur et à mesure que le joueur progressait dans le jeu, celui-ci devenait aguerri, alors que dans le même temps la difficulté augmentait. Ce qui faisait que tout en donnant l'impression d'être plus fort qu'au début, le joueur n'en nettoyait pas plus facilement ou rapidement le niveau en cours. C'était aussi une manière comme une autre d'assurer une certaine longévité à l'aventure.
Bien sûr, vu son âge et une fois passé outre le vieillissement graphique, Hexen 2 offrait un réel chalenge en matière de jeu d'action à la première personne. C'était d'ailleurs cet aspect ludique du jeu qui m'avait particulièrement attiré dans cette saga (pour laquelle je ne rechigne pas à retourner de temps à autre sur le premier volet).
Avec la saga des Hexen, l'intérêt du jeu résidait surtout dans ces monde heroic-fantasy déconcertants, aux parcours alambiqués, à la magie des sorts, aux objets farfelus, aux fioles en tous genre et à l'opposition présente de bout en bout des donjons
Le gameplay était d'une fantastique fluidité. Le jeu offrait divers réglages graphiques et exige, actuellement, une configuration hardware ridiculement faible pour se donner à plein (j'y reviendrai plus loin).
Mais Raven Software n'en était pas resté là puisque qu'un add-on avait été commercialisé pour et à la suite du deuxième volet sous le nom de "Hexen 2 Mission Pack: Portal of Praevus" qui proposait encore quelques dernières améliorations au jeu de base sans lequel il ne peut fonctionner. Portal of Praevus permettait tout naturellement de reprendre l'aventure dans la parfaite continuité de ce que proposait déjà Hexen 2.
Entre parenthèses, Hexen avait aussi connu son add-on dont le titre était "Deathkings of the Dark Citadel", qui proposait trois mondes supplémentaires. Mais alors attention; ce n'était pas l'add-on de monsieur tout le monde. La difficulté était ici surdosée, et bonne chance à qui désire encore le terminer. A côté, Doom3 doit faire figure de divertissement hyper scripté pour adolescent ingénu (non, non, je ne me trompe pas de genre, je compare bien deux FPS!).
Il est à constater que cette continuité a été entretenue avec engouement durant les trois parties de ce triptyque et ceux qui avaient apprécié le tout premier épisode pouvaient entamer les deux autres sans craindre la déception, comme c'est parfois le cas pour d'autres séries à rallonge lorsque les développeurs choisissent de nouvelles orientations de gameplay en cours de route. Pour certains, l'important c'est d'être surpris et pour d'autres c'est de ne pas être désenchanté.
Je suis de ceux-là car l'enchantement fait tout dans le jeu.

La boîte et son contenu :
Il ne faut bien l'avouer: je ne possède pas la boîte de Hexen 2. Ce jeu, je l'ai obtenu le jeu via la revue Joystick qui avait, à la fin des années 90 et pendant une courte période, commercialisé avec l'un ou l'autre numéro spécial deux ou trois jeux toujours parfaitement sélectionnés.
La revue avait prématurément mis fin à cette expérience commerciale prétextant qu'il existait alors biens d'autres périodiques pratiquant ce mode de diffusion.
On sait aujourd'hui ce qu'il reste de ces nombreux magazines, à tel point que la revue précitée a, sans trop grand risque de concurrence, repris le flambeau, à l'égal de son concurrent direct.
Cela étant dit, je possède la boîte de son add-on: Portal of Praevus (packaging sans doute plus rare que la version de base) que j'ai déniché dans un commerce de déstockage pour un prix d'époque compris entre cinq et six euros.
Offrant une présentation de couverture semblable à ce qu'offrait la boîte originelle de Hexen 2, l'emballage de Portal of Praevus m'avait tout de suite enthousiasmé par ses couleurs somptueuses dans les tons bleus doux et chauds aux reflets brillants.
En l'observant, j'étais littéralement tombé en admiration devant cette boîte composée d'un simple emballage au cartonnage industriel mis en forme et recouvert d'une chemise à rabats, particulièrement attrayante, comme le proposait l'éditeur Activision pour toutes ses productions de l'époque (je sais, les goûts et les couleurs, cela ne se discute pas).
Son contenu était toutefois des plus modestes. celui-ci se compose d'un CD-ROM dans son boîtier en cristal, d'un manuel d'utilisation multilingue de 54 pages et d'un carton d'enregistrement.
Je n'y ai pas glissé la version liminaire du jeu, préférant la conserver auprès de la revue avec laquelle Hexen 2 était commercialisé. Le tout étant évidemment parfaitement emballé et conservé dans un coin d'une bibliothèque, spécialement destinée à cet effet.

Et aujourd'hui ?
Hexen 2 et Portal of Praevus furent installés, dès le début, sur mon Pentium 200 qui, équipé d'une carte 3Dfx, était seul rompu à faire fonctionner convenablement ces deux logiciels.
Ceux-ci y tournaient d'ailleurs parfaitement car la machine dépassait, de loin, la configuration minimale demandée.
Petite anecdote: le CD-ROM de Hexen 2 commercialisé avec la revue Joystick avait l'avantage sur celui distribué par Activision de contenir les patchs tant pour celui-ci que son add-on.
Par contre, sur d'autres machines plus récentes, impossible de les faire fonctionner ne serait-ce qu'en mode logiciel. Utopie donc que de tester la bête en mode multijoueur
Puis, un jour, j'ai pris connaissance de la petite intervention à pratiquer sur Quake (qui évoluait aussi sur le Pentium 200 et sous 3Dfx) afin de le faire tourner sous OpenGL ainsi que sur toutes les machines existantes. Je me suis alors souvenu que Quake et Hexen 2 utilisaient le même moteur et que, dès lors, l'intervention apportée pour l'un pourrait très bien être valable pour l'autre.
Me voilà donc parti pour tenter la manœuvre.
Bingo ! Hexen 2 s'est mis à fonctionner sans coup férir sur mon Pentium 4, en 1024x768 et en mode OpenGL, le tout à ma grande satisfaction et pour mon plus grand plaisir. Les parties multijoueurs étaient enfin devenues chose possible !
Comme je suis dans une période de bonne composition, je vais me faire une joie de rappeler le procédé, mais celui-ci est aussi explicité dans mon laïus sur Quake premier du nom.
Procédure:
  1. installer le jeu sur le disque dur (ainsi que le patch, éventuellement) avec l'explorateur, se rendre dans le dit répertoire d'installation;
  2. repérer et effacer le fichier opengl32.dll qui est le gestionnaire pour les cartes 3Dfx et qui ne doit être présent au risque de provoquer une erreur lors du démarrage du jeu;
  3. repérer la présence d'un fichier texte nommé glh2.bat (sinon le créer), l'éditer avec le bloc-notes et en effacer son contenu (si contenu il y avait déjà);
  4. transcrire, dans ce fichier, la ligne suivante glh2.exe -width 800 -height 600 -bpp 32;
  5. quitter et sauver le dit fichier. Petit détail: les valeurs 800 et 600 précisant la définition de l'affichage peuvent être remplacées par d'autres (par exemple: 1024 et 768 ou 640 et 480 etc...);
  6. pour exécuter le jeu en mode OpenGL, il suffira, dès lors, de cliquer sur le fichier glHexen.bat ainsi créé et le tour est joué.
En ce qui concerne l'add-on: même démarche pour la création du fichier glh2mp.bat. Au cas où cette opération ne se ferait pas, mais que Hexen 2 serait installé et aurait déjà été modifié comme ci-dessus, Portal of Praevus fonctionnera en mode OpenGL avec une matrice d'affichage de 640x480 pixels seulement.
Les patchs relatifs à Hexen 2 (le jeu h2v1.11 et son add-on h2mp_patch_v1.12) sont disponibles à ces adresses:
http://www.overgame.com/page/result_liste.asp?typ_rech=spec
http://www.activision.com/games/hexenii/main.html
Deux autres patchs, non officiels ceux-là, corrigent quelques dernières erreurs et apportent encore certaines modifications, faisant passer Hexen 2 et son add-on à la version 1.14. On peut toujours les télécharger à l'adresse suivante:
http://sky.prohosting.com/pa3pyx
Par ailleurs, j'ai découvert qu'il existait un port pour Hexen 2. Celui-ci apporte quelques améliorations graphiques appréciables. Il est proposé non seulement pour le jeu de base, mais aussi pour son add-on (Portal of Praevus). Avant l'installation du port, il est vivement conseillé de mettre à jour les deux volets du jeu avec leurs plus récents patchs officiels en date (leurs adresses figurent déjà ici au-dessus). Cela fait, l'installation du port portera les deux volets jusqu'à la version 1.17. Ce port est à installer dans le répertoire du jeu, le plus simplement du monde.
Pour lancer le jeu via le port, les concepteurs ont préparé un fichier dénommé nhpop.bat qui permet à l'utilisateur d'exécuter le lancement sans autre manipulation que de double-cliquer sur le fichier en question. Pour les férus du bidouillage, il est fourni, en complément, une documentation additionnelle permettant de modifier une quantité de paramètres transformant certains aspects des effets graphiques proposés.
Voilà (s'il en fallait encore) une occasion de revenir sur cet exceptionnel jeu que fut Hexen 2.
L'adresse ultime (car après avoir beaucoup cherché, je n'ai retrouvé que celle-là) concernant le port pour Hexen 2 est la suivante :
ftp://ravenhurst@server1.thefourwinds.net/nh/nh117.zip
Malheureusement pour le monde de l'abandonware, Exen 2 (le jeu), malgré son âge avancé, n'est pas de ceux qui savent se livrer gracieusement à la curiosité publique puisque d'infâmes mercantilistes éprouvent encore le besoin de le commercialiser. Toutefois et dans la mesure ou il est toujours disponible auprès de son concepteur, je n'y trouve pas grand chose à en redire sinon qu'il aurait mérité une plus grande reconnaissance.
Pour la bonne bouche (plus précisément: pour ceux qui ne le connaissent pas encore et qui voudraient y goûter), il est maintenant possible de récupérer Hexen premier du nom ainsi que son add-on à l'adresse suivante:
http://www.abandonware-france.org/ltf-jeu.php3?id=410
Haaarg ! Aux dernières nouvelles, cela n'est plus possible, non plus.
Je l'affirme bien haut: le monde va à l'envers ! Notez que, quelque part, la responsabilité de cette situation nous incombe (comme toujours).
Heureusement, il existe actuellement des sites de socialisation. Autant qu'ils servent enfin à quelque chose d'utile (si vous voyez à quoi je fais allusion...)
Afin de remettre ces deux monstres sacrés au goût du jour, voici aussi l'adresse où l'on peut télécharger l'utilitaire Doomsday:
http://sourceforge.net/project/platformdownload.php?group_id=74815
Depuis que je l'ai découvert, je ne peux quasiment plus m'en passer. Fréquemment, je retourne sur quelques niveaux (mode solo ou multijoueur) avec ces bons vieux Doom 2, Heretic ou Hexen. Ce sont ce que l'on appelle des incontournables.
Il existe une autre solution qui est plus que convenable, consistant à utiliser l'émulateur DOSBox. Celui-ci est parfaitement adapté pour restituer une atmosphère d'antan relevant de l'authentique. Rendez-vous sur les articles consacrés aux trois jeu cités pour plus d'informations à ce sujet.
On se retrouve là-bas ?








































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