TANK COMMANDER | |
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Mai 2007
Données techniques :Type de jeu: action/arcade Version:française intégrale Conception: Big Red Software Autres titres: - Distribution: Domark Software Ltd Sortie: mai 1995 Configuration minimum: Intel 486DX2-66 Système d'exploitation: Windows 98 et XP sous DOSBox Accélération graphique: aucune Mode réseau: Deathmatch en LAN ou avec modem L'histoire du jeu : L'histoire du jeu vidéo regorge de ces jeux qui ne feront pas partie des grands classiques à jamais encensés ou portés aux sommets du référentiel. Pourtant ils auront apporté leur modeste pierre à l'édifice du gameplay vidéo-ludique. Certainement que, pour beaucoup, un titre comme "Tank Commander" ne rappelle en rien une production des studios Big Red Software parue aux éditions Domark (qui fit aussi du développement ludique à ses heures perdues), mais bien plus un titre beaucoup plus récent (2006) nommé "Iron Warriors T72 Tank Commander", dont il ne sera nullement question ici. Néanmoins, les deux titres précités, que les années séparent, traitent du même sujet: la simulation de combat de chars. Car Tank Commander (premier du nom), il fallait s'en douter, ne tire pas son appellation du simple hasard. Il s'agit d'une simulation de combat à bord d'engins lourds et chenillés dans le genre de ceux que j'ai côtoyés à une période homérique et déjà lointaine de mon ineffable existence (je n'en divulgerai pas plus, c'est personnel). Nous revoici donc en 1995 où Tank Commander nous proposait, non pas de nous replonger dans une simulation de combat au réalisme authentique comme cela est généralement le cas aujourd'hui, mais de pratiquer toute une série de missions de guerre dans un hypothétique conflit et dans un pur esprit de challenge et de satisfactions ludiques. Les amateurs pointilleux de wargames n'y trouvèrent sans doute pas leur compte. En revanche, les amoureux du soft d'arcade aux relents de conflits modernes, proposant en plus une facette humoristique bien sentie, étaient à la fête avec cette production. Il fut une époque où l'important était de se faire du bien. Je dois avouer que, déjà au moment de son acquisition, Tank Commander ne m'avait pas fait l'effet d'un soft aux qualités graphiques époustouflantes avec son véhicule blindé sur chenilles (élément principal) qui, vu de l'extérieur, manquait nettement de détails. Défaut que l'on retrouvait chez les adversaires dont on pouvait compter sur les dix doigts le nombre de textures qui les composaient ( il était vrai toutefois que leur position était lointaine). De ce constat, seuls les décors tiraient passablement leur épingle du jeu avec leurs surfaces mappées. Mais cela ne constituait pas l'essentiel de ce que proposait le soft. C'était plutôt son côté "engagement" qui avait été particulièrement mis en valeur grâce à une jouabilité sans faille. Imaginez un peu. Le joueur amorçait son périple aux commandes d'un char de combat de type non défini mais qui possédait un canon de 120mm, une mitrailleuse coaxiale, un lance-flammes et un lance-missiles à têtes chercheuses (un gros lourd, quoi). Le joueur avait la possibilité, sur simple pression d'une touche, de permuter sa position vers un des trois postes principaux du véhicule: chef de char (sur la tourelle), canonnier ou conducteur. Ces trois positions offraient chacune des vues et des fonctionnalités différentes. Une caméra extérieure permettait de tourner autour du blindé et de se mouvoir quelque peu sur un axe vertical afin de prendre une légère hauteur. Cette vue avait tout son intérêt lors de l'évolution tactique du véhicule. Le déplacement du blindé se faisait à l'aide des touches du clavier et l'élévation du canon (en site et en azimut) avec les quatre touches au-dessus des dites flèches (on pouvait aussi utiliser la souris et/ou le joystick). Par ailleurs, une touche permettait de locker la tourelle et le canon vers une direction quelconque. En ce qui concernait les touches principales, c'était à la fois simple et efficace. Le tout était accompagné, à l'écran, d'une console élémentaire (sur le haut et par transparence) fournissant diverses indications (la mini-carte du terrain, l'état des dégâts subis, le solde des munitions, la position de la tourelle par rapport au char etc...), escamotable à souhait. Avant d'entamer les missions, il était nécessaire de sélectionner parmi les quatre coéquipiers celui qui était chargé de gloser toute la partie action. Ainsi, on avait droit à des commentaires personnalisés avec accents très typés et souvent amusants dans leurs traductions (puisque celles-ci avaient été assurées par l'équipe de développement elle-même) lors des changements de munitions, des observations d'objectifs, des coups au but ou (le plus souvent) des ramassages de pruneaux provenant dont on ne savait pas trop bien de quelle direction. Cette présence (tête du personnage dans un petit encadré) ajoute sans conteste une note d'humour, pour une dédramatisation du moment, fort à propos. On est prêt pour un premier parcours ? Alors: en avant, c'est parti ! Il ne faudrait pas s'attendre à trouver devant soi un adversaire qui va se contenter d'attendre posément le passage du char pour ouvrir le feu. Non, dans Tank Commander, dès que la partie était entamée, tout entrait en mouvement. Pour se rendre compte de l'ampleur de la résistance, un hélicoptère muni d'une caméra (que l'on dirigeait avec la souris) pouvait être envoyé à loisir au-dessus du terrain (selon un tracé que l'on déterminait sur la carte) de manière à estimer les forces et positions de cette dernière. OK c'est bon, peu d'ennemis en vue ! La première mission avait pour objet de rendre l'engin parfaitement maîtrisable. Cette prise en main ne représentait aucune difficulté particulière tant le soft paraissait intuitif. D'ailleurs, à sa remise en place en vue d'écrire cette bafouille, les commandes me sont revenues comme par enchantement (et quasiment de même en ce qui concerne le maniement du bestiau). Bon, premier fantassin à l'horizon. Celui-ci est en terrain découvert et se met à tirer avec une arme légère. Bing Bang ! Les tirs ricochent sur le blindage du véhicule. Face à un char lourd, le bonhomme n'a même pas l'ombre d'une chance. On l'aligne gentiment, on tire une courte rafale et exit le fantassin. Le problème, c'est qu'à y regarder de plus près, la barre des dégâts a déjà diminué d'une graduation. Les points de santé partent sévère dans Tank Commander ! Cette fois, l'infanterie est dissimulée par une dénivellation de terrain. Des tirs arrivent mais, au poste de canonnier, impossible de visualiser la cible. C'est à cet instant qu'on comprend tout l'intérêt de passer par les trois postes accessibles du char. A la place du chef de char (la position la plus haute), on peut diriger la tourelle et pointer le canon vers une cible qui n'est observable que de cette altitude. Puis, de retour à la place du canonnier, on fait feu au ras de la crête (sansmême apercevoir l'objectif). C'est le seul moyen d'éliminer une petite cible bien camouflée avec un minimum de munitions. Autre point fort du soft: les munitions. Il ne fallait pas espérer en faire emplette à chaque dépassement d'objectif pour continuer le niveau. Nous n'étions pas ici dans un Doom like où items, armes et munitions en tous genres foisonnent partout. Il y avait à disposition un contingentement de départ. Ensuite, point barre. Et voilà que la première cible sérieuse s'annonce car un char ennemi barre le passage. On change rapidement de munition et on s'aperçoit alors avec horreur que seulement 30 coups sont disponibles. Avec un obus classique (de type explosif), il fallait bien trois tirs pour venir à bout de ce genre d'objectif. Et encore, ils devaient tous faire mouche ! Tout cela sous un tir adverse qui se rapproche dangereusement à chaque bordée. Tirer puis bouger était alors la meilleure combinaison d'actions pour pouvoir s'en sortir à bon compte. A partir de cet instant, on pressentait comme une certaine incommodité à parvenir à la fin du niveau sans trop d'encombres. Refaire le coup de la charge de la brigade légère devant Sébastopol pendant la guerre de Crimée allait systématiquement se terminer comme pour ce pauvre Errol Flynn, le nez dans la poussière (moi, ce que je préférais dans le film, c'était surtout Olivia de Havilland). La seule bonne tactique consistait à s'occuper des adversaires les uns après les autres, en faisant gaffe autant que possible à ne pas se faire toucher tout en économisant les munitions (à l'égal des minutes de connexion internet hors forfait). Comme le disait toujours une connaissance: lorsque ça ne veut pas rigoler et bien ça rigole pas ! Le jeu offrait aussi la possibilité d'utiliser une carte tactique et un zoom satellite. Ces outils allaient devenir diablement intéressants à partir du moment où il était possible d'utiliser quatre chars en simultané. De plus, il était alors mis à disposition et sur ordre, une frappe aérienne qui allait arriver à point nommé pour faire le ménage. Mais avant cela, on avait largement de quoi apprendre à maîtriser toutes les possibilités du soft en pestant comme un damné à chaque échec de mission (mon lot commun en période d'apprentissage). Quarante missions au bas mot, ça laissait de quoi s'occuper les jours de pluie. Blindés, véhicules du train, hélicoptères, infanterie, nids de mitrailleuse, aviation, tout cela faisait pas mal de monde sur le terrain et le mouvement ne manquait pas. Un mode réseau était présent dans le jeu (LAN-protocole IPX, modem et nul-modem). N'ayant qu'une machine à ma disposition, à l'époque où je pratiquais Tank Commander, je n'ai jamais pu tester ce dernier. Toutefois, il semble qu'il était effectivement possible de jouer à plusieurs (vous me direz, c'est tout l'avantage du multijoueur) mais sans autre précision, car le manuel est peu explicite à ce propos. Côté qualités visuelles, il ne fallait pas s'attendre à des superlatifs élogieux, même à sa sortie. Bien qu'esthétique et agréable, le jeu proposait une définition de 320x200 qui est déjà obsolète sur le plus exécrable des téléphones portables actuels. Cela avait toutefois pour avantage de faire fonctionner l'ensemble, sans le moindre ralentissement, sur un Intel 486DX2-66 (ce qui était mon cas à l'époque). Pas de mode S-VGA et encore moins d'accélération graphique. Autant dire que les jeunes d'aujourd'hui n'auront même plus un regard de ce côté. J'ai d'ailleurs entamé quelques recherches à ce sujet sur internet pour rapidement me rendre compte que l'oubli est le seul endroit autorisant la fossilisation de l'ère humaine. Pourtant, à sa reprise, j'ai retrouvé les mêmes sensations et satisfactions qu'à l'époque, à être ainsi confronté à la difficulté toujours grandissante du jeu, dans des niveaux d'une longueur interminable (en tous les cas: qui le paraissent, tant les munitions et l'épaisseur du blindage s'épuisaient rapidement). De plus, la désuétude des graphismes et l'utilisation du pixel par paquet de douze rendent le sentiment d'avoir vécu dans une autre vie et dans un autre univers où l'imaginaire arrivait à recréer des sensations que d'aucuns n'éprouvent même plus aujourd'hui, blasés qu'ils sont par tant de technologie mise à disposition et trop d'espoirs déçus dans une industrie vidéo-ludique en manque d'imagination et de renouvellement. Un bon grand retour aux sources, il n'y a que cela de vrai. La boîte et son contenu : 1995 fut l'année où je me rendais régulièrement chez un détaillant spécialisé (j'en fait régulièrement état dans d'autres chroniques) pour m'approvisionner en produits ludiques. En ces temps prodigieux, ce commerce de détail constituait assurément ma source d'approvisionnement principale. Je me souviens avoir aperçu la boîte de Tank Commander dans un rayonnage situé à l'entrée du magasin où se trouvaient généralement les nouveautés du moment. Contrairement à ce qui se passe aujourd'hui, le présentoir consacré aux nouveautés ne ployait pas sous le nombre d'exemplaires à l'identique dérivés d'un ou deux titres seulement, mais bien sous de nombreux jeux tous différents dont il était inhabituel de trouver deux exemplaires similaires. C'est cela que je considère être représentatif d'un choix réel offert au consommateur et non dans la profusion d'un seul et même dernier titre en date, porté par le marketing du moment. Tank Commander a sans doute été le premier titre qui me fit connaître les jubilations de la conduite d'un char au combat à travers le jeu d'arcade (qui se différenciait notablement de la simulation réaliste). La boîte du jeu avait sans doute de quoi attiser ma convoitise. Celle-ci est composée d'un coffrage (base et couvercle) de dimension appréciable (juste au-dessus de la normale) recouvert d'un parement vert olive flamboyant, ce qui le différencie des autres productions de ce type (je fais allusion au seul emballage) généralement cantonnées dans les teintes noires. Ce coffrage singulier est recouvert d'une jaquette coulissante dont le ton général rappelle la teinte sous-jacente vert olive. La face avant affiche, en grand, la tourelle du mastodonte tournée vers la cible. La face arrière propose, comme il est de coutume, quelques captures d'écran commentées par un texte vantant les mérites de la simulation. La boîte contenant le CD-ROM du jeu dans un écrin cartonné s'ouvrait pareillement à un livre de littérature enfantine. On y trouve un support plastifié, sur lequel vient se loger la galette en résine, solidement ancré sur sa base en bristol. Voilà une présentation qui affiche un caractère tout particulier et qui apporte une certaine fraîcheur par rapport au sempiternel boîtier cristallin, commun à de nombreux autres produits du moment. On trouve aussi, à l'intérieur de cette boîte, un manuel d'utilisation de 20 pages (et d'apparence toute militaire), suffisamment détaillé pour pouvoir profiter pleinement du jeu. Il est joint à ce manuel, une carte reprenant un résumé clavier. Au dos de cette carte, figurent quelques instructions relatives à l'installation du jeu ou plus précisément à la configuration des fameux fichiers config.sys et autoexec.bat. Cette configuration relevait plutôt de l'optimisation de mémoire afin de pouvoir en réserver un maximum pour Tank Commander. Ainsi, il y est fait allusion à la commande MS-DOS "stacks" qui définit les piles de données pour la gestion des interruptions matérielles (nombre et taille de chaque pile). J'en conviens: ceci est comparable à du chinois pour beaucoup d'entre-nous mais, à l'époque, il fallait en passer par là pour que le jeu fonctionne au mieux (cette instruction était toutefois rarement employée pour les jeux fonctionnat sous MS-DOS). On retrouve aussi dans la boîte un dépliant publicitaire vantant les productions Domark et la sempiternelle fiche d'enregistrement auprès de cet éditeur. Bien évidemment, l'ensemble est complété par une disquette de boot MS-DOS (deux disquettes, en fait) reprenant une configuration optimisée, le patch du jeu et les dernières sauvegardes que j'ai voulu conserver tant il m'avait fallu déployer de nombreux efforts pour en arriver au point où je m'étais arrêté. La boîte est intéressante et son contenu quelque peu original. Du fait de ses dimensions, celle-ci repose à l'horizontale sur mes étagères. La rigidité de l'ensemble permet un tel stockage sans que cela entraîne une quelconque détérioration et c'est heureux ainsi, car je compte bien la conserver très très longtemps encore. Et aujourd'hui ? A l'exception de mon vénérable pentium 200 sur lequel je sais pouvoir faire fonctionner Tank Commander sous MS-DOS, comme ce dernier s'activait à ses débuts, je n'ai pas pris sur moi le risque de rencontrer des conflits sur des machines plus récentes et sous un OS tel que Windows (fut-il encore usité dans sa version 98). Sur la machine que me sert de référant, j'ai lancé l'installation de Tank Commander sous DOSBox puis installé manuellement les pilotes audio (ce qui était déjà préférable, même à l'époque, à l'installation automatique qui se fourvoyait sans avertissement). Le démarrage du jeu s'effectua à la première sollicitation et un réglage des cycles (configuration DOSBox) aux environs de 15.000 me permit de retrouver Tank Commander tel que je pouvais en profiter sur mon Intel 486DX2-66 du milieu des années 90. Le mode fenêtré permet même d'affiner quelque peu l'image sans pour cela amenuiser le plaisir de rejouer avec un soft affichant fièrement son éminente pixellisation. Quel bonheur et quelle fierté ! Ce jeu sent bon la production artisanale jusque dans son thème musical qui reste dans la tête alors qu'il est interprété au piano seulement, accompagné de l'un ou l'autre instrument de percussion. Un véritable enchantement de simplicité ! Ce n'est même pas la peine de chercher un quelconque effet lumineux, seul et à l'occasion on peut observer un effet de transparence entre trois gros pixels bleu-clair représentant l'une ou l'autre volute de fumée. Je me suis repassé plusieurs fois le générique d'introduction qui m'avait tant impressionné à l'époque. Quoique assez court, il conserve toujours autant d'attraction pour les souvenirs que je lui garde. On télécharge toujours DOSBox à l'adresse suivante: http://dosbox.sourceforge.net/ De plus, s'il arrivait, à quiconque, d'éprouver le moindre problème à l'installation de cet émulateur, le site "La clinique des jeux vidéos" (la référence francophone en matière de support technique concernant des jeux de précédentes générations) propose, outre la possibilité de télécharger DOSBox, une traduction de son manuel d'utilisation, complétée par de multiples reproductions d'écrans de paramétrisation, eux-mêmes parachevés par des commentaires assurant une installation sans faille, même pour les plus néophytes d'entre nous. Voici l'adresse de cet émulateur et de tout ce qu'il faut pour pouvoir l'utiliser au mieux de ses possibilités: http://clinique.jeuxvideos.free.fr/articles.php?lng=fr&pg=91 Ce site, à vocation pédagogique, ne devrait absolument plus quitter votre carnet d'adresses personnelles. En voici d'ailleurs les coordonnées : http://clinique.jeuxvideos.free.fr En ce qui concerne la paramétrisation de DOSBox, on trouvera quelques indications fondamentales permettant de faire fonctionner cet émulateur tout comme je l'utilise aujourd'hui, à l'adresse suivante : L'émulateur DOSBox Tank Commander a malheureusement connu les affres du "patchage" et j'ai conservé pieusement ce dernier (qui fait passer le jeu de la version 1.0 à la version 1.1) sur une disquette. Celui-ci corrige quelques petites imperfections et tient à peine sur quelques kilo-octets. Malheureusement, je n'en ai retrouvé aucune trace sur la toile. Le développeur Big Red Software, compagnie fondée en 1989 par Paul Ranso, a été englobé (en même temps que Domark et Simis) par Eidos en 1995. Je n'ai plus souvenir de la source qui m'a permis d'obtenir le patch en question. Je tiens donc celui-ci à disposition de quiconque serait intéressé par son exploitation. Il semblerait que Tank Commander puisse être téléchargé sur un site d'abandonware (ce que je n'ai pas testé) mais uniquement dans sa version originale (langue anglaise). En voici l'adresse: http://free-game-downloads.mosw.com/abandonware /pc/simulations/games_t_z/tank_commander.html C'est malheureusement à peu près la seule évocation que celui-ci laisse aujourd'hui derrière lui, alors que sa sortie avait été saluée comme une réelle bonne surprise (certains journalistes spécialisés allant même jusqu'à reconnaître une propension à étonner un public, déjà blasé, grâce à ce titre et à son éditeur) par les médias de l'époque. Pour ma part, je qualifierais Tank Commander du (trop communément usité) terme de "sympathique" mais dans son interprétation longue, cette fois. |
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