SYSTEM SHOCK 2 | |
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Avril 2005
Données techniques :Type de jeu: rôle - aventure - action Version: anglaise Conception: Looking Glass Looking Glass a fermé ses portes en 2000. C'est une grande perte pour le monde du jeu vidéo. Autres titres: Car & Driver, Ultima Underworld, Flight Unilimited 1, 2 & 3, Terranova, System Shock, Thief The Dark Project 1 & 2. Distribution: Electronic Arts Sortie: octobre 1999 Configuration minimum: Pentium II 300 128 Mb RAM Système d'exploitation: Windows 98, XP (mode compatible 98 et avec les réserves d'usage) Accélération graphique: Direct 3D Mode réseau: coopératif 2 joueurs (après installation du patch ad-hoc) L'histoire du jeu : Comme le laisserait à penser le titre du présent article, System Shock 2 fut bien la suite tant attendue d'un premier épisode intitulé System Shock qui lui, avait déjà vu le jour en 1994. Cela n'avait sans doute l'air de rien pour les communs des mortels que nous sommes mais cette formidable licence qu'était System Shock premier du nom, représentait un héritage lourd à porter pour l'équipe de développement qui allait se charger de concevoir une suite digne de ce nom. Cette équipe, qui constituait l'ossature des studios de développement Looking Glass, était d'ailleurs celle qui était à l'origine du premier volet. Les nombreux admirateurs du premier épisode n'auraient pas accepté que ce deuxième volet ne corresponde pas à leurs attentes ou à leurs espérances. A ce propos, on peut estimer qu'il n'y avait aucune crainte à avoir: les promesses faites avaient été tenues et les espérences du grand public, parfaitement rencontrées. La formulation graphique du jeu, actuellement considérée par certains comme totalement surannée, participait indéniablement à l'établissement d'une atmosphère oppressante et sordide à souhait. Personnellement, je n'aurais pas voulu qu'il en soit autrement. C'est ainsi conçu que le jeu restera à jamais gravé dans la mémoire des passionnés. Alors, pour ceux qui n'en ont pas (de mémoire), un rapide retour sur la page des titres et un clic sur le jeu précité leur permettront de se remémorer que dans System Shock premier du nom, il était question d'un certain Shodan, ordinateur central, était devenu le maître absolu de la station spatiale Citadel en prenant l'ascendant sur tous les humains qui y résidaient (via les prothèses et implants cybernétiques). Cet ordinateur central se sentait des envies de domination et de destruction massives (aspirations classiques chez tous les dictateurs) après qu'un pirate informatique ait eu la bonne idée de lui ôter toute notion éthique. Ainsi libéré de toute déontologie contraignante, le despote aux circuits imprimés décida de pousser un peu plus loin le principe de la fusion entre être vivant et intelligence artificielle. Cela aurait pu tourner à la catastrophe si le joueur n'était pas passé par là pour retourner, une fois de plus, la situation en faveur de l'humanité. On en était resté à ce stade lorsque, 35 ans plus tard, sur un vaisseau spatial, baptisé "Starship Von Braun", destiné aux recherches scientifiques, connu une mésaventure du même type que celui qui avait engendré le désastre dans System Shock premier du nom. Les autorités du Tri-Optimum, conscientes des risques potentiels de cette opération, avaient chargé le vaisseau de combat UNN Rickenbacker, de veiller sur les scientifiques dans leurs expériences hasardeuses. Celui-ci se trouvait amarré au Von Braun. Face au silence inquiétant de la part du vaisseau principal, le commandement du Rickenbacker décida d'y envoyer une unité d'élite en éclaireur, afin de savoir ce dont il était question précisément. Bien évidemment, l'unité d'élite était, cette fois encore, ce bon samaritain de joueur (qui en avait l'habitude, mais qui ne s'en lassait pas pour autant). Dans ce deuxième épisode, un nouvel élément de gameplay faisait, d'entrée, son apparition. Il s'agissait, pour le joueur, de choisir une carrière qui pré-conditionnait son personnage pour son temps de classes à bord du Rickenbaker (cette partie étant antérieure à "l'incident"). La carrière militaire de héros se préparait dans unes des trois armes suivantes: Marines, Navy ou OSA avec chacunes ses spécialisations. Cela fait, le nouveau promu était envoyé à bord du Von Braun pour un tour de service. Manque de pot pour le joueur, le transfert se passait au moment précis où survenait l'incident en question et comble de malchance, toutes les communications avec le Rickenbaker étaient subitement interrompues. L'élément éclaireur était sur place mais à son corps défendant. System Shock 2 ressemblait à s'y méprendre à un jeu de rôle. En fait, c'en était bien un mais dans le présent jeu, il était associé à un scénario de survival horror. Toute l'intrigue se passait à bord d'un gigantesque vaisseau (le fameux Von Braun) aux multiples niveaux reliés ntre eux par d'interminables coursives, sas et passerelles dont il semblait utopique de vouloir échapper. Comme dans le premier opus, le joueur avait rapidement la désagréable sensation de déambuler dans un univers de solitude et de confinement alors qu'apparaissaient les grandes étendues stellaires lorsqu'il observait, par les baies vitrées, l'espace infini, froid et vide qui entourait le titanesque vaisseau. Cette situation avait fortement tendance à rendre claustrophobes les plus stoïques d'entre tous, d'autant que d'après les premières constatations et à l'exception du personnage principal, aucune forme de vie humaine digne de ce nom ne résidait à l'intérieur du bâtiment. Les membres de l'équipage qui y avaient séjourné jadis se retrouvaient maitenant à l'état de cadavre ou de manifestation spectrale. Le jeu démarrait donc par une préparation du personnage principal qu'incarnait le joueur. Ce dernier décidait des caractéristiques et compétences que le personnage possédait en lui choisissant une carrière militaire. Ces caractéristiques allaient pouvoir être améliorées grâce à divers implants cybernétiques et autres équipements biomécaniques à découvrir lors de l'aventure. Tout autant, le joueur avait la possibilité de peaufiner les techniques de combat ou de maîtriser les pouvoirs psioniques de son personnage (dans ce domaine,HL2 ne fera pas mieux). A l'instar du premier volet, on découvrait de nombreux messages disséminés dans le vaisseau, ce qui, petit à petit, permettait d'appréhender le caractère critique de la situation dans laquelle le héros évoluait. Dans System Shock 2, l'implication du joueur était très rapidement entière et de nombreuses surprises ou rebondissements l'attendaient à chaque tournant. Dans l'aventure, tout ce qu'il y avait à ramasser ou à récupérer comme armes ou équipements l'était en quantité réduite. Les munitions étaient à compter sur les doigts de la main. Pis encore, les armes à feu ou à énergie se dégradaient lors de leur utilisation et la réparation n'était pas toujours réalisable sans l'apprentissage d'une compétence particulière. Il était aussi fréquent de découvrir une arme intéressante mais malheureusement détériorée et donc inutilisable dans l'instant. Il fallait se faire à cette idée: le compagnon le plus précieux du début du jeu était sans aucun doute cette clef anglaise de bonne taille qu'il fallait manier avec une certaine dextérité. Un coup raté laissait rarement l'occasion d'en donner un autre sans avoir à subir une riposte vigoureuse. De plus, lorsqu'un niveau avait déjà été nettoyé des présences indésirables, il ne fallait pas compter sur le fait que, lors d'un prochain passage, cette présence ne fasse plus apparition. Quel qu'en soit l'endroit, la sécurité totale n'existait pas. Tout cela était prévu dans le scénario et ce n'était pas plus mal puisque cela empêchait l'apparition du phénomène d'acclimatation trop souvent rencontré dans des jeux bien plus gore. Ici, la chasse au frag était la moins bonne des idées lorsqu'on décidait d'aller voir plus loin ce qui se tramait dans le scénario (et là, je ne fais encore allusion qu'au début de l'aventure...). IL est bon d'insister sur ce point: bien que l'aventure du jeu soit basé sur l'action, il ne s'agissait en aucun cas d'un Doom-Like mais bien d'un véritable jeu de rôle/aventure. System Shock 2 dispensait d'ailleurs tout ce qui était nécessaire à la justification de cette appellation. Si le joueur avait eu à créer avec soin son personnage, c'est qu'il y avait de bonnes raisons à cela et que de nombreuses possibilités d'exploration étaient ouvertes. Bien que le moteur du jeu ait des similitudes fonctionnelles avec un certain Half Life (bien que ce fut le moteur de "Thief 2 The Dark Project" du même développeur qui était utilisé ici), en aucun cas le principe de fonctionnement du premier cité n'était repris ici. Si le joueur désirait se faire un bon trip bien prenant et angoissant comme cela n'était pas permis, System Shock 2 jeu avait été conçu pour lui. Le scénario science-fiction épouvante était d'une richesse digne des meilleurs récits du genre. La laideur des graphiques (comparativement aux standards actuels) y participait pour beaucoup. System Shock 2: le jeu à ne jamais oublier et qui mérite parfaitement d'être considéré au même titre que son illustre prédécesseur. La boîte et son contenu : System Shock 2 est emballé dans une boîte de grand format aux couleurs sombres, tirant sur le noir avec quelques touches bleues très foncées. Cette boîte a été acquise dans une grande surface toute proche, pour un prix très attractif, lors de la grande période des soldes annuelles. Aujourd'hui encore, j'estime avoir eu beaucoup de chance dans cette conquête et je m'en explique. System Shock 2 était présent sur les étalages (à l'époque: encore fournis) de la grande surface en question depuis quelques temps déjà. A chaque fois que je m'y rendais, je ne pouvais faire autrement que de la convoiter, mais son prix (+ de 50€ au moment de sa commercialisation) et le fait qu'il s'agissait d'une version anglaise m'empéchait de franchir le pas qui me séparait encore de la convoitise au passage en caisse. En fait, j'espérais, avant tout, mettre la main sur une version localisée (comme cela avait été le cas pour le premier volet). Celle-ci aurait certainement lever la barrière pécuniaire en question mais je ne pu jamais dénicher une telle version. Et pour cause, il n'existait pas de version localisée, ce que je n'apprendrai que plus tard. Pendant tout un temps, je me limitai donc à dévorer des yeux l'article interdit, jusqu'au jour ou, à l'occasion de soldes, celui-ci (un boîte résiduelle de toute une série d'exemplaires, semblait-il) fut mis sur le présentoir add-hoc pour la moitier de son prix, seulement. Plus d'hésitation cette fois et tant pis si, par la suite, j'en dénichais une version localisée (me dis-je alors), je la prends ! L'occasion espérée n'arriva pas, bien évidemment, puisque le jeu ne fut jamais traduit. A postériori, il me faut avouer que, pour cette fois, madame la chance avait été de mon côté. La boîte de System Shock 2 se compose d'un coffret en carton industriel fort (le fameux carton gris gaufré), entouré d'une chemise couvrante mais non coulissante qui s'ouvre uniquement vers le haut. Celle-ci offre sur sa face avant l'effigie effrayante d'un Shodan dans toute sa magnificence. La face arrière offre quelques classiques captures d'écran, quelques textes ventant les qualité du jeu . Le tout formant un ensemble du meillieur goût qui encourageait à la découverte du contenu. Le contenu de la boîte en ma possession et précisément quelque peu particulier. Comme le précise l'étiquette bleue (la belle et grande étiquette reprenant toutes les indications et contre-indications du produit) couvrant le dessus de l'emballage, l'article était un produit destiné à l'exportation et bien que le jeu soit en anglais, la chemise de la boîte et le manuel d'utilisation sont en français. Mieux encore, la boîte renferme deux manuels: l'un en français et l'autre en néerlandais. Preuve, s'il en était encore besoin, que ce produit était uniquement destiné au marché belge. C'est d'ailleurs ce qui fait son originalité, car il semble qu'en France, le jeu n'ait fait son apparition que sous couverture française mais avec le seul manuel en anglais (une lacune de la législation n'imposant pas la langue nationale, je suppose...). J'ai fais référence aux manuels (en utilisant le pluriel) parce que, outre le CD-ROM du jeu enfermé dans son boîtier cristallin, la boîte comprend deux manuels d'utilisation et deux manuels de référence, chacun dans une des deux langues nationales (pour être précis, en Belgique, il y en existe trois mais celles-ci sont les principales). Le tout a été complété par une solution extraite de la revue PC Force (encore un monument de la littérature vidéo-ludique disparu) ainsi qu'une autre, extraite de la toile, mais je n'ai pas conservé l'adresse à laquelle j'ai déniché cette dernière. Et aujourd'hui ? Prévu pour fonctionner sur des machines dont le système d'exploitation est Windows 98, System Shock 2 ne demande qu'à s'installer puis démarrer comme un seul homme. En ce qui concerne Windows XP, il vaut mieux être en possession du seul et unique patch qui a suivit la commercialisation du jeu. Ce n'est d'ailleurs un secret pour personne, System Shock 2 n'est pas particulièrement apprécié par Windows XP, loin s'en faut (il s'agit vraisemblablement du fameux parcours du combattant en question...). L'installation du jeu peut parfois poser problème (j'insiste sur le "parfois": parce qu'en la matière, Windows XP n'en fait qu'à sa tête en fonction de la machine et de configuration matérielle présente). J'ai repris, de différentes sources, certaines méthodes qui devraient régler le problème de l'échec de la dite installation ou du dysfonctionnement. Les voici: Premièrement, il faut lancer le programme en utilisant la commande DOS : "install.exe -lgntforce" et ce, à partir du CD-ROM de System Shock 2 (puisque c'est sur un tel support que réside le soft). Cette instruction permet de passer outre un petit souci rencontré sous DirectX et devrait assurer, à l'installation, du jeu d'aller jusqu'à son terme si toutefois cele-ci n'arrivait pas avec la méthode classique. Deuxièmement il faut mettre à jour System Shock 2 avec le dernier patch connu. On peut le télécharger directement à l'adresse suivante: http://www.sshock2.com/files/shkpatch.exe Ensuite, il pourrait être utile de démarrer le jeu en mode compatibilité Windows 98 (ou Windows 2000 selon certaines allégations). Enfin, il se pourrait aussi qu'il faille désactiver un des deux processeurs présent sur une puce Dual Core. Comme je n'ai pu tester ces procédures faute d'avoir Windows XP présent sur une de mes machines, je les livre telles que. A chacun de tester celles-ci et que la force soit avec vous tous. Toutefois, il existe un correctif (fix) tout spécialement destiné au bon fonctionnement de System Shock 2 sous Windows XP. Celui-ci (ainsi que le patch officiel dont il a été question au-dessus) est récupérable auprès de: http://www.patches-scrolls.de/ Entrez "system shock" dans la zone de recherche présente sur la page d'accueil et vous aurez tout sous la main en 1/4 de seconde. Je n'ai pas le souvenir d'une ressortie de System Shock 2 dans une quelconque série budget. Et c'est bien regrettable parce qu'il méritait plus qu'une seule et brève apparition sur le marché vidéo-ludique. Inutile de préciser qu'actuellement, le voilà considéré comme un monstre sacré du jeu de rôle/aventure.System Shock 2 a été un des derniers jeux produits par le studio de développement Looking Glass. Sa commercialisation avait à peine débuté que la société disparaissait dans le maelstrôm qui a emporté un grand nombre de Start-up lorsque la bulle Internet s'est effondrée. Mal lui en prit puisque l'équipe n'eut pas le temps nécessaire pour localiser le jeu en langue française. Dès lors, c'est une équipe de passionnés anonymes qui se sont mis à la tâche et qui proposent maintenant une version quasi-définitive de cette traduction qui ne concerne que l'affichage des textes présents dans les boîtes de dialogue et les menus. Celle-ci (version beta) est téléchargeable sur le site: http://www.web-nel.com/ss2 Je devrais plutôt dire "proposait", car hélas, depuis un certain temps, cette adresse ne répond plus et malgré mes interrogations sur divers forums dédiés au jeu, je reste sans nouvelle de cette localisation et de l'équipe de bénévoles qui s'en occupait. Je le regrette d'autant plus que l'initiative était louable et quasiment aboutie. Pour ceux que cette conversion intéresse encore et qui ne seraient pas en sa possession, il leur suffit de me le faire savoir et je me ferai un plaisir de la leur transmettre. C'est bien le moins que je puisse faire en hommage au jeu, à ceux qui ont mis au point cette localisation et à ses inconditionnels (dont je fais partie). Quoique actuellement, je réserve cette possibilité pour plus tard car il est à nouveau possible de télécharger le patch de localisation à l'adresse suivante: http://rapidshare.com/files/62940684/FrSS2_BETA_1.zip.html Sur cette page, il suffit de suivre l'onglet "System Shock 2" et le patch de localisation sera alors téléchargeable sans autre forme de procès. J'espère que celui-ci restera encore longtemps disponible à cette adresse (et merci à l'amateur éclairé qui m'a fait découvrir ce nouveau lien, alors que celui que je proposais jusqu'à maintenant avait rendu l'âme dans le plus profond anonymat (l'éternité n'est plus de ce monde, même sur internet). Des adulateurs ont mis au points quelques améliorations graphiques à porter sur le jeu System Shock 2. Il existe ainsi deux packs de modèles: Le premier se nomme "Rebirth" et c'est sans conteste le plus connu. http://www.strangebedfellows.de/index.php/topic,8.0.html Le second se nomme "Arcaniac Graphics pack reduxed "et quoique plus intimiste, me parrait le mieux approprié à perpétuer l'esprit du jeu. http://www.strangebedfellows.de/index.php/topic,251.0.html Pour obtenir toutes ces textures en plus haute définition: http://shtup.home.att.net/files.html Pour en revenir aux origines de System Shock 2 et sous la demande pressante des joueurs anglophiles de l'époque, Looking Glass avait conçu un patch rectifiant certaines erreurs constatées après sa sortie mais surtout ajoutant une possibilité de jouer à System Shock 2 en mode coopératif multijoueur officiel multiplayer nommé shkpatch.exe qui se trouvait aussi sur le site que je viens à peine de mentionner comme disparu). Ce mode permet de partager le plaisir de l'aventure avec d'autres personnes dans une partie en réseau local en utilisant le protocole TCP/IP. Pour avoir tâté cette possibilité avec mon épouse, je me dois de constater que le mode coopératif fonctionne parfaitement. Participer à deux à cette aventure n'enlève rien au climat d'angoisse et d'oppression que le jeu distile lors de cessions en solitaire. On pourrait même affirmer qu'une fois l'aventure partagée, les sensations en sont amplifiées lorsque, au détour d'un couloir, on se retrouve séparé de son coéquipier. C'est toujours ces instants d'effroi que les rencontres les moins désirées se réalisent. Un conseil, il faut impérativement prendre le temps de lire tous les messages que l'on peut récupérer lors de la progression. Les indications qu'ils renferment sont généralement précieuses. Rater la possibilité d'améliorer une compétence peut souvent rendre la suite du jeu beaucoup plus difficile (voir irréalisable). En conclusion: les amateurs de jeu de rôle et d'aventure seront comblés s'ils sont en possession de System Shock 2. Pour ceux qui n'avaient pas encore cet avantage, voici qu'arrive à point nommé la communauté de l'abandonware, accueillant sous son protectorat bienveillant tous les titres en passe d'être oubliés, au moment même ou System Shock 2 entre dans cette catégorie. Quelle heureuse coïncidence, n'est-ce pas ! Abandonware-Utopia propose au téléchargement la version CD-ROM (agrémentée du patch permettant une inéffable localisation en version française) à l'adresse suivante: http://www.abandonware-utopia.com/index.php?page= telechargement&id=867 System Shock 2 remet au goût du jour, grâce à l'utilisation de la 3D, un jeu datant du début des années 90 (System Shock premier du nom, qu'il vous faut aussi connaître). Ce fut une somptueuse idée qui malheureusement ne se développa pas jusqu'à son terme. A-t-on fait mieux depuis ?... Je n'en suis pas certain. |
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