LIGHTHOUSE (THE DARK BEING)
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Décembre 2012
Données techniques :
Type de jeu: aventure/réflexion
Version: française intégrale
Conception: Sierra On-Line
Autres titres: 3D Ultra Pinball, Casino Deluxe, Codename Iceman, Conquests of Camelot, Cyclone, Fire Hawk, Football Manager, Freddy Pharcas, Gabriel Night 1, 2 & 3, Hunter Hunted, Jones in the Fast Lane, King's Quest du 4 au 8, Laura Bow 1 & 2, Leisure Suit Larry 3, 5 à 7, Phantasmagoria 1 & 2, Police Quest 1 à 4, Police Quest Swat, Power Chess, Quest for Glory 1 à 5, Rama, Rise & Rule of the Ancient Empire, Shivers, Swat 3, Torin's Passage
Distribution: Sierra
Sortie: septembre 1996
Configuration minimum: Intel 486DX2-66
Système d'exploitation: Windows 98, Windows XP avec DOSBox
Accélération graphique: aucune
Un seul joueur

L'histoire du jeu :
La crise économique, les frimas d'un hiver précoce, les antagonismes en tous genres, tout concourt à nous faire frissonner en ce mois de décembre. Si, par bonheur, vous parveniez à vous soustraire aux sept plaies de l'Egypte des temps modernes qui sont celles-là, le bon moyen pour vous y plonger avec délice et vous associer aux émotions collectives est de revenir sur les jeux qui surent faire frissonner, pour un même prix, le bulbe et le palpitant.
Il est maintenant de notoriété publique que le père spirituel des jeux d'aventures/réflexion se désigne sous le patronyme de Myst. Ceux d'entre vous qui ne connaissent pas Myst, ne serait-ce que par ouï-dire, seront heureux d'apprendre que ce jeu fut aux origines d'un nouveau genre dans l'univers du jeu vidéo: le "Myst-like" (un pendant au Doom-like apparu dans la première partie des années 1990), dans lequel le joueur se retrouvait en vue à la première personne, à mi-chemin entre le jeu d'aventure et le jeu de réflexion. Cette particularité fit qu'il fut, à l'époque, considéré par la critique comme une météorite (sans plus) parmi les jeux vidéo de cette catégorie.
C'était là une bien mauvaise analyse car ce jeu plut énormément à la gente ludique (quelle qu'en soit la catégorie) et la carrière commerciale de Myst dépassa les deux ans pendant lesquels il détint le haut du box-office du jeu vidéo destiné au home computer, toutes ventes confondues. Il fut mentionné jusque dans les plus fameuses revues dont le Wall Street Journal, ce dont bien peu d'autres jeux peuvent se vanter.
Vous allez me rétorquer que deux ans c'est plutôt normal vu qu'à cette époque des débuts du commencement, on ne devait pas trouver grande quantité de jeux vidéo à se mettre sous la dent et je vous répondrai que s'il y a une époque qui connaît une disette en la matière c'est bien la nôtre et pas celle-là.
Mais soit.
De nombreux éditeurs se laissèrent tenter par cette nouvelle potentialité ludique. Parmi ceux-ci se trouvait un grand nom du moment: Sierra On-Line. Nous devons aux studios Sierra quelques monuments dédiés au jeu d'aventure. Pour s'en rendre compte, il me suffirait de ne citer que quelques titres seulement. Parmi ceux-ci on retrouve les Gabriel Knight, les King's Quest, les Police Quest, les Leisure Suit Larry, les Spaces Quest, les très énigmatiques Phantasmagoria, Rama, Shivers et enfin celui qui nous intéresse très précisément ici: Lighthouse - The Dark Being.
Imaginez-vous dans la peau d'un écrivain qui se cherche une retraite à l'écart de la ville, afin de retrouver l'inspiration, et qui découvre une petite maison isolée en bord de mer, le long de côtes déchirées et rocailleuses, libre d'occupation pour tout l'hiver. C'est sûr que pour écrire le best-seller qui vous manque encore pour devenir célèbre, on ne pourrait rêver mieux. Pas une âme qui vive à des lieues à la ronde !
Enfin: si tout de même. La plus proche masure est un vieux phare accroché à un surplomb mais il n'est habité que par un solitaire (comme vous) et sa toute jeune petite fille. C'est bien là la seule personne avec qui il serait possible de lier connaissance. D'ailleurs, si j'étais vous, j'éviterais toute tentative de rapprochement. Si je dis ça, c'est pour votre bien, évidemment. Vous savez ce que c'est: il ne faut pas courir au devant des emmerd...
Mais n'y allez pas, je vous dis !... Non, n'y allez pas !
Raaah voilà, c'est malin maintenant ! Vous voilà embarqué dans une bien étrange histoire.
Avec Lighthouse, le vieux phare n'était qu'un point d'entrée permettant d'abriter un jeu d'inspiration Mystique (jeu de mots facile) sans qu'il soit, pour autant, assimilable à une pâle copie de son inspirateur.
L'aventure que Lighthouse proposait allait entraîner le joueur dans une autre dimension, décrivant un univers aussi étrange et quasiment aussi exsangue de vie que l'était son prédécesseur, Myst (le premier du nom). Seuls, à l'exception des cinématiques, quelques éléments du décor étaient parfois animés d'une existence propre et l'on s'étonnait de voir tournoyer majestueusement autour du sommet de la grand tour quelques oiseaux qui s'avéraient d'ailleurs n'être que des mécaniques.
Mais, de Myst, Lighthouse empruntait le meilleur: la qualité et l'originalité des graphismes notamment. Ceux-ci étaient affichés en SVGA, dans un cadre noir qui n'avait pas pour seul but d'assurer la fluidité de l'ensemble puisque l'inventaire et les actions spécifiques s'y déployaient.
L'aventure se situait dans l'étrangeté des situations et de l'univers traversé, tout comme dans certaines scènes de la vie courante (comme par exemple ce bébé qui se mettait à geindre et avait le don de porter sur mes nerfs comme c'est pas possible), allant jusqu'à vous glacer les sangs.
Outre l'aventure, Ligthouse mélangeait énigmes, objets à découvrir, à assembler, à déplacer ainsi que des puzzles bien sentis, mettant à l'épreuve la logique et la patience de celui qui prétendait les résoudre. A un niveau tel qu'un crack fut mis au point afin de modérer la difficulté des plus complexes.
Car Lightouse ne prétendait offrir une aide d'aucune sorte, comme par exemple: l'étincellement d'un objet significatif, la flèche qui indiquait où regarder ou la petite musique qui signalait le point marqué. Rien de tout cela ici. Dans Lighthouse, il fallait chercher et fouiller partout dans l'image pour espérer découvrir ce qui permettait de progresser.
Lightouse offrait en cela une parfaite ergonomie: simple et efficace; il ne requérait que l'utilisation de la souris afin de passer d'un plan fixe à l'autre suivant une technique propre au Myst des premières heures.
Par contre et sans être déméritant, le volet musical n'atteignait pas les sommets de l'oppression tels qu'avait pu nous le faire ressentir Myst. Il n'empêche que celui-ci se déployait parfaitement dans l'esprit de l'aventure. De plus, il n'y avait rien à redire en matière de bruitage. J'en veux pour preuve les pleurnicheries d'un bambin qui étaient à ce point diaboliquement modélisées qu'on finissait par en trouver la réalité bien plus tolérable (d'autant plus que celle-ci permettait de ne pas avoir à les supporter). Vous l'aurez compris, ce passage fut, pour moi, une authentique torture qu'aucun jeu actuel ne saurait restituer, le bruit des armes et des explosions prenant invariablement le dessus sur le reste.
Le défaut de Lightouse résidait intégralement dans le genre où il se cantonnait: le jeu d'aventure. Celui-ci souffrait d'une étonnante linéarité et voyait son charme s'effriter face à la première solution écrite. Les éditeurs l'avaient très bien compris et c'est pourquoi ils finirent par augmenter la difficulté des puzzles au point d'en écœurer une partie de leur public.
Distillant une ambiance exceptionnelle, Lighthouse s'érigeait en concurrent direct de Myst premier du nom. Il ne profita pas, pour autant, du même aura. C'est d'autant plus dommage que ce titre offrait une belle aventure, des graphismes en acier trempé et une ambiance inquiétante. Autant admettre qu'il se situait parmi les meilleurs jeux d'aventure/réflexion de l'époque et le tour de la question sera faite.
Et comme le prétendait un connaisseur en la matière: "le public oublie mais la qualité reste"

La boîte et son contenu :
Il se fait qu'à l'occasion d'une brocante locale ayant eu lieu il y a quelques années déjà et à laquelle je me rends systématiquement pour l'intérêt des découvertes que j'y fais à chaque fois, je suis devenu l'heureux propriétaire de quelques boîtes par le truchement d'un quidam qui se séparait d'un lot de titres authentiques. A cette occasion, j'entrai en possession du jeu Homeworld, jeu que je convoitais depuis longtemps déjà, et qui était ici empaqueté dans sa boîte cartonnée originelle. Homeworld ne fut pas le seul jeu découvert à cette l'occasion. A vrai dire il n'est pas le sujet principal de cet article, mais c'est sa présence qui me permis d'en découvrir d'autres chez la même personne et notamment Lighthouse.
Fait prodigieux (je ne le soulignerai jamais assez), étonnamment rarissime par rapport à ce que j'ai pu en lire anciennement sur divers forums qui se louaient d'entretenir un certain traditionalisme ludique, l'objet de toutes mes convoitises se trouvait être dans un état de conservation miraculeusement préservé de toute érosion temporelle, comme si ce dernier avait traversé son époque sans jamais y être entré. Or, et de son propre aveu, le précédent propriétaire de la perle rare en question n'adhérait à aucun principe conservateur particulier.
Malgré tout, le résultat reste à son honneur.
La boîte de Lighthouse s'inscrit dans la lignée de la gamme des classiques que l'éditeur Sierra commercialisait à l'époque. Cette boîte affiche des dimensions parfaitement standardisées. Elle se compose d'une base et d'un couvercle recouverts tous les deux d'une parure d'un blanc mat du meilleur effet. Emboîtés l'un dans l'autre, l'ensemble ainsi constitué se glisse dans une chemise coulissante sans rabats, reprenant l'ornementation qui fut conçue pour promouvoir et identifier cette ligne de produits.
La décoration de la chemise n'a rien de particulièrement remarquable sinon qu'elle cautionne, par la présence d'une poupée enfantine, le thème rencontré lorsque l'on parcourt l'aventure fournie par Lighthouse. Le tout est agrémenté d'une frise représentative de la marque avec, dans le bas, son liseré noir faisant les trois-quarts du tour du package et orné du logo de l'éditeur. Voilà de quoi évoquer tout le contenu de ce soft dont on ne pouvait que présumer, jusque-là, le sujet traité.
Le dos de cette chemise est tout autant aguichant avec quelques captures d'écrans de certaines scènes caractéristiques, soutenues par des textes qui complimentent les vertus immersives de l'aventure. Le tout est de très bonne facture et transpire la qualité et le milieu de gamme.
La boîte enferme, outre les boîtiers cristallins contenant les deux CD-ROM du jeu, un petit manuel de 14 pages imprimées dans les tons gris, dont le contenu est largement suffisant à la maîtrise du jeu. Dans un même format, sont joints à ce manuel un livret tout de rouge vêtu, détaillant toute la gamme des jeux Sierra édités dans la série baptisée "Sierra Originals: les plus grands hits au plus petit prix" (c'est marqué dessus) alors que cette série était toujours commercialisée en boîte cartonnée. Enfin et comme de coutume, y est jointe la carte d'enregistrement et de garantie à retourner auprès d'une succursale française. Voilà un véritable joyau qu'il me faudra conserver sur un des rayonnages de la bibliothèque que je viens d'aménager à cet effet (les précédents étant en saturation complète) pour cette boîte et toutes les autres acquises à cette occasion et chez le même vendeur.
Des découvertes telles que celle-là, on en voudrait bien plus souvent.

Et aujourd'hui ?
Lighthouse avait été conçu pour s'installer sous Windows (3.11 & 95) ainsi qu'accessoirement sous MAC. A l'ère du système d'exploitation 64 bits, cette opportunité n'est plus faite pour nous satisfaire puisque la compatibilité ascendante n'est plus assurée depuis des lustres (Mr Bill nous en avait bien avertis, en son temps). Celle-ci s'arrête d'ailleurs avec Windows 98.
A mon goût, une bien trop lourde solution consisterait à installer un émulateur du type VirtualBox ou Virtual PC afin de faire tourner les versions délaissées de Windows qui permettraient ensuite le fonctionnement de jeux exigeant les dites versions. Ces solutions sont, sans conteste, pesantes à mettre en place, gourmandes en ressources machine et, de plus, elles requièrent la détention du système d'exploitation à émuler (Windows 98 ou Windows XP).
En clair, il faut donc, préventivement et impérativement, détenir/disposer d'une version exploitable de Windows 98 ou d'une version exploitable de Windows XP pro (la version XP familiale qui est, par essence, restrictive et généralement préinstallée est bonne à oublier).
Ce sont là bien trop d'impondérables pour les communs des mortels que nous sommes.
Heureusement, et bien que Lighthouse soit apparu en 1996 (1996 fut à l'année windowsique ce que fût 1969 à l'année érotique - l'inversion en moins), celui-ci avait aussi été conçu pour s'installer sous MS-DOS. Voilà une aubaine dont nous allons pouvoir tirer profit grâce à l'émulateur DOSBox. DOSBox ne requiert rien d'autre que l'émulateur DOSBox (MS-DOS n'étant absolument pas requis puisqu'il est incorporé au noyau de l'émulateur).
On télécharge toujours DOSBox à l'adresse suivante:
http://dosbox.sourceforge.net/
De plus, s'il arrivait, à quiconque, d'éprouver le moindre problème à l'installation de cet émulateur, le site "La clinique des jeux vidéos" (la référence francophone en matière de support technique concernant des jeux de précédentes générations) propose, outre la possibilité de télécharger DOSBox, une traduction de son manuel d'utilisation, complétée par de multiples reproductions d'écrans de paramétrisation, eux-mêmes parachevés par des commentaires assurant une installation sans faille, même pour les plus néophytes d'entre nous.
Voici l'adresse de cet émulateur et de tout ce qu'il faut pour pouvoir l'utiliser au mieux de ses possibilités :
http://clinique.jeuxvideos.free.fr/articles.php?lng=fr&pg=91
Ce site, à vocation pédagogique, ne devrait absolument plus quitter votre carnet d'adresses personnelles. En voici d'ailleurs les coordonnées:
http://clinique.jeuxvideos.free.fr
En ce qui concerne la paramétrisation de DOSBox, on trouvera quelques indications fondamentales permettant de faire fonctionner cet émulateur tout comme je l'utilise aujourd'hui, à l'adresse suivante:
L'émulateur DOSBox
Jusqu'à présent, DOSBox se montre compatible avec les systèmes d'exploitation les plus courants. Il ne demande qu'une initiation (au même titre d'ailleurs que VirtualBox ou Virtual PC). Une initiation qui se limitera au strict minimum pour ceux qui auront fréquenté l'ère du MS-DOS (je suis de ceux-là) lorsque ce dernier détenait le haut du pavé.
Cette étape acquise (vous ne le regretterez pas tant elle se montrera indispensable en matière de retrogaming), il restera à installer Lighthouse comme il s'installait jadis, lorsqu'on choisissait le type d'installation MS-DOS.
Dans les grandes lignes, j'explique à partir du CD-ROM du jeu:
DOSbox démarré, on place la galette dans le lecteur préalablement configuré pour fonctionner sous DOSBox (consulter la documentation).
Derrière le prompt, affiché à gauche et en bas dans la fenêtre DOSBox, on entre la lettre identifiant le lecteur CD-ROM (pour moi c'est "D:"), afin d'en pointer la racine (si vous voyez de quoi il est question).
Cela réussi, il reste à entrer au clavier, avec ses petits doigts conditionnés au SMS, le mot magique: "INSTALL" (majuscules ou minuscules, peu importe).
L'installation démarre et il n'y a plus qu'à suivre les instructions affichées à l'écran.
Facile, non ? Il y a là de quoi épater toutes les filles/garçons du quartier tant la manœuvre peut paraitre ésotérique pour les férus du tactile 3G. Moi je dis: ça en jette grave côté opportunités, c'est certain.
Ensuite: roulez jeunesse !
Pour pouvoir être exploité à fond, Lighthouse - The Dark Being ne réclamait rien d'autre que la présence d'une souris (à l'exception de celle du joueur, évidemment). Son intuitivité permettait de se passer du peu de manuel d'instructions qu'il offrait. A mon avis, il en est toujours ainsi à l'heure où je couche ces lignes.
Si d'aventure, pratiquer un jeu du même genre vous tente encore, il est à noter que Lighthouse n'a toujours pas franchi le pas vers le dématérialisé onéreux (le genre étant trop en déshérence, sans doute) qui en veut à votre portefeuille mais se cantonne toujours du côté du dématérialisé désintéressé (pour combien de temps encore ?). Afin de le télécharger dans sa version localisée (intégralement en français, donc) il suffira de se rendre sur Abandonware France où le choix entre images des deux CD-ROM d'origine ou image concaténée et "remasteurisée", relevant du domaine du prêt-à-porter, est offert.
Du pur jus gratis à l'adresse suivante:
http://www.abandonware-france.org/ltf_abandon/ltf_jeu.php?id=1403
Par contre, si le genre aventure/réflexion ne vous intéresse pas, ne vous intéresse plus ou ne vous a jamais intéressé, il ne sera pas nécessaire de savoir que trois petits correctifs avaient été mis en place par Sierra afin de corriger quelques soucis modiques.
Le premier se nomme Phare 2.0 et ajoute plusieurs nouvelles fonctionnalités tout en incluant l'ensemble des correctifs mis au point jusque là. Il remplace toutefois l'interface version française par une interface en langue anglaise.
Le second se nomme Phare 2.0a et est une amélioration du premier en lui enjoignant un système d'aide en ligne complet ainsi que la possibilité de jouer le jeu avec mise en évidence des curseurs. Il opère également quelques simplifications à certaines des énigmes les plus ardues.
Le troisième se nome Phare 2.0a(FIX) et ne doit s'utiliser qu'en cas de contrariété rencontrée à l'intérieur du sous-marin ou avec la boussole présente dans le jeu.
Ces trois patchs peuvent se télécharger à l'adresse suivante:
http://www.sierrahelp.com/Patches-Updates/Patches-Updates-Games/
LighthouseUpdates.html

Je ne sais pas dans quelle mesure ceux-ci sont nécessaires à la version française du jeu (dans laquelle ils sont peut-être déjà implémentés) mais il est un fait que cette dernière fonctionne parfaitement sans eux.
En guest star, voici une adresse générique qui reprend l'ensemble des patchs conçus à destination de l'intégralité de la librairie des jeux édités par Sierra (et il y en a quelques-uns, croyez-le bien). Ils y sont tous téléchargeables, bien entendu.
http://www.sierrahelp.com/Patches-Updates/Patches-Updates.html
Je suis convaincu qu'en tant que connaisseur émérite, ce cadeau qui vous sierra à ravir (ahurissant jeu de mots dont je suis l'artisan) va contribuer à une mémorable délectation.
Alors, régalez-vous: c'est moi qui offre la tournée !




































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