ALIENS VERSUS PREDATOR (GOLD EDITION)
(les titres)    (page d'accueil) (bas de page)
Octobre 2014
Données techniques :
Type de jeu: action/shoot à la première personne
Version: française
Conception: Rebellion Software
Autres titres: Gunlock, Judge Dredd vs Judge Death
Distribution: Fox interactive/Sierra.
Sortie: mai 1999 (Gold Edition en mars 2000)
Configuration minimum: Pentium III
Système d'exploitation: Windows 98, Windows XP (avec les réserves d'usage)
Accélération graphique: Direct3D
Mode réseau: affrontement et coopératif jusqu'à 8 joueurs

L'histoire du jeu :
En matière de rencontre du troisième type, un des sujets parmi ceux que j'affectionne se trouve le thème de la confrontation avec des entités particulièrement belliqueuses, impitoyables et, de surcroît, singulièrement machiavéliques.
Alien le huitième passager (1979 avec Segourney Weaver) fut une œuvre cinématographique qui marqua son époque du sceau de l'horreur introspective et frappa l'imagination du grand public ainsi que celle des nombreux amateurs de films d'épouvante.
Predator (1987 avec Arnold Schwarzenegger) fut un autre monument du cinéma, mettant le téléspectateur captivé face à ses peurs ancestrales les plus profondes.
En 1999, les studios de développement Rebellion réussirent le pari d'accorder dans un seul et même jeu vidéo les deux créatures démoniaques face à leur proie toute désignée, à savoir le Colonial Marine. Cet assemblage hétéroclite fut une réussite magistrale dans l'affrontement inexorable qui allait survenir entre ces trois protagonistes, rivaux impitoyables dans la perpétuation ou la survivance de leur espèce.
L'Alien est une créature abominable, parasitaire, xénomorphe, dépourvue du moindre sentiment, s'attaquant sans discernement et jusqu'à son extermination complète, à toute forme de vie permettant sa propagation. L'humanité court donc un danger incommensurable à son contact puisque l'Alien a recours à l'éradication afin de garantir son hégémonie totale. Sa force repose sur sa prolifération exponentielle et une morphologie adaptative à toutes épreuves.
Cet être venu d'ailleurs est le fameux fléau évoqué dans les saintes écritures. Pire que les sept plaies d'Egypte réunies en une seule. L'apocalypse, le jugement dernier et j'en passe !
En somme, une bien mauvaise fréquentation.
Dans le genre infréquentable, le Predator n'est pas mieux. Supérieurement intelligent, technologiquement en avance, il parcourt l'univers en quête de trophées de chasse. Il sélectionne son gibier parmi les combattants qu'il rencontre. L'Alien est son adversaire de prédilection (le Predator sait engendrer une infestation Alien, afin d'avoir un adversaire à combattre et cela sans souci des dégâts collatéraux). Mais l'humain peut tout aussi bien faire l'affaire pour autant que celui-ci porte les armes. Predator est un être solitaire, puissant, agile, furtif, privilégiant l'arme blanche et bénéficiant de technologies de camouflage inédites à ce jour (invisibilité) il traque sans relâche à la recherche du moindre trophée.
Comme l'autre, c'est tout autant une mauvaise fréquentation.
Entre ces deux-là, il y a le pauvre Colonial Marine, défenseur de la veuve et de l'orphelin, qui va avoir à charge d'affronter ces terribles menaces représentées par le Predator et l'Alien, ensemble ou séparément. Le Colonial Marine est sans doute le personnage le moins favorisé physiquement mais il possède un armement redoutable lui permettant de conserver l'illusion d'une échappatoire. Car des trois protagonistes en lice, il est le seul à redouter les deux autres.
Le jeu proposé par le développeur Rebelion et naturellement intitulé "Aliens versus Predator" (titre que le septième art exploitera par la suite) mettait en scène les trois personnages cités ci-dessus. Ceux-ci pouvant être incarnés à tour de rôle au travers de trois longues et ardues campagnes solo reprenant pour chaque créature, les capacités et caractéristiques belliqueuses que leur avait prêté le cinéma.
La mise en scène des trois races les plus féroces de l'univers (ne minimisons pas les prédispositions belliqueuses de la race humaine) entrainait le joueur sur un planétoïde rocheux (LV-426) battu par les vents, où une minuscule colonie humaine avait élu domicile. Dans la station qui abritait les quelques familles de pionniers (dont on était sans nouvelles) allait se dérouler le plus horrible des affrontements en milieux clos qu'un militaire ait jamais eu à braver.
Dans Aliens versus Predator (ou acronymement AVP1), il fut un rôle dont je m'étais investi dès le début et par affinité: celui du Colonial Marine (parce que moi aussi je suis brave) devant affronter les ténèbres et l'épouvante réunies au même endroit.
Le scénario du jeu était calqué sur celui de la saga cinématographique. Pour les rares distraits qui ne l'auraient pas encore visionnée, le mandat du Marine consistait principalement à assurer sa survie avec l'espoir (trop souvent déçu) de pouvoir la préserver jusqu'à la réussite de sa mission. Aliens versus Predator réussissait indéniablement à restituer l'atmosphère clautrophobique de l'univers filmographique. Il transfigurait l'intensité des combats filmés aux meilleurs des scènes d'affrontements entre les militaires et l'infestation Alienne.
En mode campagne, le joueur choisissant le personnage du Marine se retrouvait seul à arpenter les coursives ravagées d'un complexe minier déserté, au tracé alambiqué et à l'éclairage plus que défectueux. Lorsqu'il abandonnait le mode entrainement (conçu expressément pour les baratineurs) pour le mode réaliste et après le mini-breafing habituel, son véritable challenge était amorcé. Dès lors, sa situation allait rapidement se dégrader.
Armé et casqué, le voilà prêt à affronter l'infestation. Le détecteur de mouvements, affiché par transparence, avertissait de la moindre présence venant d'en face. Comme dans la filmographie, chaque balayage émettait un bip d'autant plus intense que le mouvement se rapprochait.
Houlà, ça bouge devant. Mouvements rapides en approche !
Une fusée éclairante, vite !
Je ne vois rien, il n'y a rien et ça se rapproche toujours !
Le plafond ! Ca sort par le faux-plafond !
Non de dieu !...
Je l'ajuste comme je peux.
Saleté de xénomorphe, prends ça !!!
Il est déjà sur moi mais je parviens à lui exploser le crâne.
Attention à l'acide !!!
Ca gicle dans tous les sens et mon armure en prend un sacré coup. Quant à ma réserve de vie, n'en parlons même pas: encore une rencontre comme celle-là et je suis remballé ipso-facto au début du niveau.
Allez, on bouge de là et on avance !
Oui Mesdames et Messieurs, jouer à "Aliens versus Predato" c'était dur, très dur lorsqu'on l'abordait en mode réaliste. Pouvoir y tenir plus de cinq minutes demandait un bon entrainement et sollicitait toute la dextérité du joueur. Les montées d'adrénaline se succédaient les unes aux autres. Les niveaux étaient ainsi conçus qu'il n'y ait quasiment aucun havre de paix permettant de reprendre son souffle. A tout instant la menace Alienne pouvait surgir de n'importe où et singulièrement de là ou on ne l'attendait pas.
Avec le Marine, les assauts de parasites étaient tellement rapides et les environnements à ce point restreints qu'il aurait été superflu de lui implémenter un mode sniper, dont le joueur n'aurait su que faire. Epauler une arme aurait déjà été une perte de temps. Ainsi, l'arme restait fixe sous le bras (ou en mains) et c'était bien suffisant. Je n'ai jamais rien trouvé à y redire.
Un environnement particulièrement oppressant, un détecteur de mouvements agaçant, une luminosité parcimonieuse à peine rehaussée par quelques fusées éclairantes qui ne fonctionnaient que quelques instants, des munitions en nombre limité, un ennemi étonnamment véloce qui resurgissait invariablement etc... tout concourait à faire monter l'adrénaline du joueur à des sommets jusqu'alors insoupçonnés (et ensuite inaccessibles dans les épisodes suivants). Comme si cela ne suffisait pas, une ambiance musicale et des bruitages effrayants extirpés de la saga filmographique plombaient un climat visuellement suffocant.
Plus d'une fois, j'ai eu l'occasion de parcourir Aliens versus Predator dans des parties LAN, en mode coopératif. De l'avis général des participants, le choix se porta toujours sur le personnage du Colonial Marine avec qui et en équipe nous affrontions, à n'en plus finir, des hordes invasives de xénomorphes agressifs.
Enfermés dans des niveaux sans échappatoire avec comme seule finalité la survie tout en dégommant le plus possible de ces bestiaux, me voilà accompagné par mon épouse (au cribleur) et d'un invité (au gatling gun) près à en découdre avec l'infestation qui n'allait pas tarder à apparaître.
Cerise sur le gâteau: les tirs fratricides étaient intégralement pris en compte. Pour pouvoir tenir une position il convenait donc d'éviter absolument ce genre de bévue (flinguer le collègue) car le joueur qui s'éclipsait sous des coups malencontreux le faisait toujours au plus mauvais des moments, augmentant ainsi l'éventualité, pour les autres participants, de le rejoindre rapidement dans la débâcle.
Le tir fratricide: enfin un élément tactique dans ce jeu de brutes !
En dehors de cela, fonctionner en équipe ne permettait pas pour autant d'affronter l'adversaire dans de meilleurs conditions qu'en mode solitaire. Il semblerait que le jeu adaptait la difficulté en fonction du nombre des participants et restituait les mêmes sensations fébriles que lors d'un parcours entammé seul.
Pourquoi en serait-il autrement puisque le but avoué de Aliens versus Predator était bien de procurer aux joueurs des émotions proches de celles croisées dans la saga cinématographique !
Car avant tout, Aliens versus Predator était un jeu bourrin au possible et c'est bien ce qu'il délivrait de façon magnifique en montées d'adrénaline rythmées et intenses. Ce premier opus fut celui qui a sans doute emporté les meilleurs suffrages émis par la gente ludique et ses suites se montrèrent bien moins enhtousiasmantes de ce point de vue.
Hormis le Colonial Marine, Aliens versus Predator (premier du nom) offrait la possibilité d'incarner les deux autres personnages (l'Alien ou le Predator), proposant ainsi trois campagnes et trois modes de jeu totalement différents dans un même produit vidéo-ludique.
A l'époque de la commercialisation de Aliens versus prédator, le moteur graphique mijoté par Rebellion Software assurait parfaitement la tâche qui lui était confiée, si ce n'est qu'actuellement il n'est plus considéré comme étant à la page. Mais l'indigence visuelle qu'il distille toujours participe définitivement à créer une ambiance ténébreuse, sentiment unanime que je partage avec moi-même et que les connaisseurs apprécieront à sa juste valeur.
Et si le jeu ne fut pas soutenu par un scénario étoffé, il ne faut pas lui en tenir rigueur car cela ne nuisait en rien aux plaisirs du casse-pipe outrancier vécu à la première personne dans lequel se trouvait et se trouve toujours plongé le joueur, lorsque ce carnage se déroule dans un univers totalement imaginaire et contre des adversaires des plus fictifs.
Il est d'ailleurs à escompter que, si d'aventure, une rencontre avec des entités venues d'ailleurs devait se réaliser, que cela se passe dans de toutes autres conditions que celle décrites dans le jeu.
Sinon, je ne donnerais pas cher de la survie de notre belle humanité.
Et même sans cela, notre pérennité n'est pas garantie.

La boîte et son contenu :
Je ne possède pas la boîte cartonnée de Aliens versus Predator. Ce n'est pas faute d'avoir pu la saisir à l'occasion mais (et une fois n'est pas coutume), son ornementation ne m'a jamais inspiré et en tous les cas bien moins que la boîte de "Aliens - A Comic book Adventure"(voir l'article consacré), un jeu de chez Cryo remontant à 1995 dont la décoration était bien plus évocatrice que celle du présent AVP1, manquant totalement d'inspiration.
Heureusement, Aliens versus Predator (Gold Edition) rattrapait quelque peu la sauce avec une ornementation plus sobre et plus profonde. Toutefois et avec celle-ci, plus question de boîte cartonnée. C'est donc sous un emballage au format boîtier DVD que fut commercialisée la version Gold de AVP1.
J'ai souvenir d'avoir fait l'acquisition de ce titre, il y a fort longtemps maintenant, lors d'un déplacement et accompagné de mon épouse, dans un supermarché quelconque. A cette époque, nous ne manquions pas de faire un passage systématique par le rayon multimédia dans lequel on pouvait encore découvrir un foisonnement, une profusion, un pullulement et pour ainsi dire une concentration de titres divers (en réédition ou non) tous plus intéressants les uns que les autres. Actuellement je me détourne de ce même rayon, trop souvent réduit à sa portion congrue, ou plus rien ne m'inspire qui pourrait me permettre de retrouver cette ère d'abondance maintenant disparue.
Quant à l'originalité de ce qu'on y découvre encore, je préfère ne pas exprimer mon amertume.
Aliens versus Predator (Gold Edition) a été commercialisé par l'éditeur Sierra, dans une série intitulée "Bestseller Series", série majeure qui proposait des jeux en réédition et à un prix totalement démocratique. Cette série se distinguait par des jaquettes à l'encadrement bordé d'un brun cuivré. La face avant reprenait souvent un fac-similé du front de la boîte cartonnée, pour les jeux ayant été emboîtés de cette manière (bien évidemment). Mais avec AVP1, la présentation était toute autre et heureusement différente de la boîte cartonnée avant servi à commercialiser le jeu à ses débuts. Cette décoration plus en rapport avec le thème du jeu me poussa à me saisir de ce titre. Je n'eus jamais à le regretter.
Le contenu de ce réceptacle à DVD est particulièrement spartiate. Pas de manuel papier (mais le jeu sait s'en passer) et deux CD-ROM. Il y a toutefois une petite brochure de 12 pages concernant l'installation du jeu et reprenant le tableau des touches clavier pour chacun des personnages (Marine, Alien et Predator). Sous celui-ci se loge encore un dépliant publicitaire reprenant l'ensemble de la gamme "Bestseller Series" commercialisé chez Sierra. Il y a dans cette série budget quelques monuments (et non des moindres) du jeu vidéo de la grande époque et j'ai le plaisir d'en détenir une grande partie, ce dont je me félicite, même si l'emballage DVD ne correspond pas à mon conditionnement préféré.
Mais faute de grives, on mange des merles (prétend le dicton populaire).
Dans ce réceptacle DVD on y trouve aussi deux CD-ROM. Le premier contenant le jeu et le second des partitions musicales extraites de la saga filmographique. Il est heureux que Sierra (à l'inverse de Ubi-Soft dans une série similaire) ne fit pas l'impasse sur les ambiances musicales lorsque celles-ci se présentaient au format audio (et donc non incluses dans le jeu). Car sans ces dernières, AVP1 perd une grande partie de son atmosphère au caractère intensément angoissant pour rejoindre alors la cohorte des first person shooter habituels. Et cela, Aliens versus Predator ne le mérite pas.
Par contre, si un jour je mets la main sur la boîte cartonnée de AVP1, ce ne sera qu'à titre conservatoire car la version Gold Edition offre quelques innovations qu'il serait ridicule d'ignorer.
En attendant, le jeu restera à disposition pour des moments d'intenses défoulements mais dans un univers de pure fiction.

Et aujourd'hui ?
Pour avoir eu et conservé le plaisir de me consacrer à Aliens versus Predator Gold Edition (version commerciale sur CD-ROM), je ne peux que me réjouir d'avoir conservé en état de marche plusieurs Pentium IV (windows 98 et XP pro) car il n'y a que sur ces machines (architecture relativement ancienne) que le jeu fonctionne encore. Au-delà de cette frontière, Aliens versus Predator risque bien d'être un disciple des abonnés absents à la compatibilité et les détenteurs de la version commerciale sur CD-ROM n'ont plus qu'à conserver ce software ludique au titre de pièce de musée.
Ils auraient d'ailleurs tort de s'en débarrasser car il semblerait qu'une solution ait, depuis quelque temps, vu le jour. Celle-ci concerne les versions XP, Vista, Seven et 8 du système d'exploitation Windows, acoquinées aux dernières plateformes matérielles 64 bits. Je ne l'ai pas testée puisque, dans mon cas, le besoin ne se fait toujours pas sentir mais on la trouve à l'adresse suivante :
http://homepage.eircom.net/~duncandsl/avp/setup_AvPx.exe
Cette solution consiste à placer le fichier Myavp.exe dans le répertoire du jeu et de lancer le jeu en exécutant AvPx.exe en lieu et place de Avp.exe.
Cette méthode ne s'applique qu'à la version "Gold Edition" de Aliens versus Predator, uniquement.
Cette même version "Gold Edition" est-elle vraiment différente du jeu de base ?
Je pense bien, oui !
La livrée ultime "Gold Edition" inclut un guide stratégique, le jeu original Aliens versus Predator agrémenté de ses correctifs ainsi que son extension "Millenium Expansion Pack"
Cette extension ajoute:
  • neuf nouvelles cartes multijoueur, jouables en mode solo (escarmouche ou coopératif);
  • deux nouvelles armes;
  • la possibilité d'enregistrer plus de sauvegardes en cours de partie (huit emplacements par profil joueur).
Voilà un AvP1 remis à jour de belle manière mais que je n'ai pas eu à mettre en œuvre puisque je possède toujours le matériel permettant au soft en question de fonctionner idéalement, dans son milieu naturel d'origine (on va dire).
Aliens versus Predator ne s'est jamais retrouvé dans les réserves de l'abandonware, même pas pour ce qui concerne la version localisée (les voix étant restées celles d'origine). Les franchises cinématographiques Alien et Predator n'y sont certainement pas pour rien.
Par contre, le domaine du dématérialisé s'en est rapidement emparé et commercialise une version remise à niveau supportée par les plateformes matérielles actuelles. Celle-ci reprend pratiquement toutes les caractéristiques du jeu original. Elle ne se télécharge qu'en version anglaise (quoique peu gênant), est sans option serveurs dédiés, sans option LAN et offre une difficulté revue à la baisse (ce qui déprécie l'ambiance générale de l'opus original). Cette mouture revisitée et graphiquement améliorée se nomme Aliens versus Predator (Gold Edition) classic 2000.
Pour le peu d'avantages que cette remise à niveau m'apporte, je m'en tiendrai à la version première du jeu, gravée sur un support qui se perpétue et qui s'inscrit définitivement dans l'esprit de l'authentique retrogaming.
C'est comme cela que j'envisage de continuer à utiliser le jeu, dans sa campagne solo ou dans des parties en LAN (en coopératif), en privilégiant le choix du Marine pour la difficulté accrue que cette condition offre généreusement.
Voilà une priveauté comme plus aucun développeurs actuels n'oseraient le proposer, trop occupés sans doute à racoler le chaland afin d'en décrocher les faveurs via du satisfecit à la grosse louche, plutôt que de le placer devant de véritables challenges vidéo-ludiques.




































(page suivante) (haut de page)